Après le point sur la préparation de Pierrick Pivron, nous vous proposons aujourd’hui de dresser un bilan avec un autre jeune du groupe grenat, Benjamin Antonietti. Issu de la formation genevoise l’attaquant international U-20 avait débuté la saison dernière à Bâle avec de rejoindre les Vernets en octobre. L’équipe du gshc.ch l’a rencontré à l’issu de l’examen de karaté d’hier. gshc.ch : « Salut Benjamin. Comment se passe ta préparation physique ? » Benjamin Antonietti : « Tout se passe bien pour le moment. Il faut dire que je commence à avoir l’habitude avec les saisons qui s’enchainent même s’il y a toujours des nouveautés. Le principal changement cette année est la charge de travail qui est bien entendu plus importante puisque je suis la même que la première équipe. » gshc.ch : « En effet, la saison passée, tu t’entraînais avec l’équipe de Bâle qui évolue en LNB… » Benjamin Antonietti : « C’est clair. D’abord, à Bâle, nous n’avions pas de préparateur physique et c’était notre entraîneur « glace » qui nous donnait les entraînements physiques, c’était donc moins spécifique et moins varié. J’en ai d’ailleurs un peu souffert durant la saison en rejoignant Genève-Servette en cours d’exercice. Avec Xavier Jolis, nous avons la chance d’avoir des exercices variés pour travailler les différents aspects de la préparation physique. » gshc.ch : « Tu fais partie du groupe des jeunes joueurs dont la charge de travail est assez importante. Comment gères-tu cette situation ? » Benjamin Antonietti : « C’est assez simple en fait. Comme je n’ai pas d’autres activités que le hockey sur glace, je peux me concentrer à fond sur la prépa physique. Ça me permet aussi d’avoir des plages de repos entre les sessions de travail, et ainsi de récupérer parfaitement et d’être frais et dispo à chaque entraînement. » gshc.ch : « Nous sommes dans le dojo où tu viens de passer un examen de karaté Kyokushinkai avec brio puisque tu as décroché ta ceinture orange. Félicitations. » Benjamin Antonietti : « Merci. Je suis heureux d’avoir réussi ce passage de ceinture. C’était très dur et éprouvant, donc je suis satisfait d’avoir décroché ma ceinture orange, même si le but premier était de tester mes limites. Le karaté nous permet de changer un peu de la préparation classique en salle de force. » Un retour en images sur cet examen de karaté vous sera proposé dans l’après-midi par GSHC TV.
22 juin 2010