Cet après-midi, les joueurs du Genève-Servette se sont soumis à des tests médicaux et physiques. Sous l’œil attentif des « experts », ils ont été auscultés sous toutes les coutures. Ces tests se sont déroulés en deux phases et en deux lieux différents : une première partie aux Vernets pour les tests médicaux et la deuxième à Cressy pour les tests physiques.
Aux Vernets, l’équipe médicale s’est assurée de la bonne forme des Aigles. Ils sont passés par des examens traditionnels dans le monde sportif : électrocardiogramme et prise dans la tension pour vérifier la bonne santé de leur cœur ; mesure et pesée pour la taille et le poids ; estimation de la masse graisseuse ; contrôle des articulations et du dos. Les joueurs ont également profité de leur passage à la patinoire pour remplir un questionnaire médical imposé par Swiss Olympic.
A Cressy, Xavier Jolis et son équipe ont vérifié la résistance physique des Grenat. Ils ont commencé par un « échauffement » à l’étage : un test d’explosivité consistant à sauter sur place, l’appareil de mesure enregistrant les données. Ils ont ensuite passé un contrôle des épaules et de la souplesse plus spécifique qu’aux Vernets, avant de se plier à un test de condition physique : en cadence, ils effectuaient de chaque côté une série de montées et descentes du bassin. Enfin, les exercices se sont conclus avec un test neuro-psychique.
Le bilan de ces tests sera connu demain.
Aux Vernets, l’équipe médicale s’est assurée de la bonne forme des Aigles. Ils sont passés par des examens traditionnels dans le monde sportif : électrocardiogramme et prise dans la tension pour vérifier la bonne santé de leur cœur ; mesure et pesée pour la taille et le poids ; estimation de la masse graisseuse ; contrôle des articulations et du dos. Les joueurs ont également profité de leur passage à la patinoire pour remplir un questionnaire médical imposé par Swiss Olympic.
A Cressy, Xavier Jolis et son équipe ont vérifié la résistance physique des Grenat. Ils ont commencé par un « échauffement » à l’étage : un test d’explosivité consistant à sauter sur place, l’appareil de mesure enregistrant les données. Ils ont ensuite passé un contrôle des épaules et de la souplesse plus spécifique qu’aux Vernets, avant de se plier à un test de condition physique : en cadence, ils effectuaient de chaque côté une série de montées et descentes du bassin. Enfin, les exercices se sont conclus avec un test neuro-psychique.
Le bilan de ces tests sera connu demain.