Dimanche 7 décembre à la Valascia d’Ambrì-Piotta, sur les coups des 18 heures, Benjamin Conz se fait un prénom en devenant un des rares gardiens à commencer sa carrière professionnelle par un blanchissage : 41 tirs adverses, tous arrêtés, la statistique parle en sa faveur. Plus que les chiffres, c’est le calme affiché par le jeune homme qui avait impressionné les spécialistes, dont Sébastien Beaulieu, l’entraîneur des gardiens du Genève-Servette.
« Ça fait partie de son caractère. Quand il arrive le matin, on ne sait pas toujours s’il est bien réveillé » confie avec malice Florian, son grand frère. « Il a toujours été très calme lorsqu’il joue. »
L’aîné des Conz – ils ont sept ans d’écart – est certainement le Grenat qui connaît le mieux Benjamin. Florian a-t-il été surpris par les performances de son frère ? « Oui et non. Ça fait quand même depuis le début de l’année qu’il s’entraîne avec la première équipe. Il a eu le temps de progresser et de se mettre au rythme de la LNA, même si ça reste des entraînements. Lorsqu’il a joué, il a plus ou moins bien fait son travail. Et l’équipe l’a bien aidé, ce qui est positif. »
Le relativisme de l’attaquant s’explique par deux ou trois erreurs de jeunesse commises par le gardien : « elles sont normales : il lui manque encore l’expérience de la LNA » expliquait Sébastien Beaulieu après le match du 12 décembre à Langnau.
Cette seule ombre au tableau ne vient en rien gâcher les performances de Benjamin. Au contraire, Florian reconnaît que son cadet à joué un rôle important dans les dernières rencontres des Aigles : « Chaque fois qu’il a joué, il nous a permis de rester dans la rencontre. » De plus, il a su résister à la pression de l’enjeu : « Il n’a pas craqué mentalement, ce qui est bon pour lui. »
Alors, Florian est-il fier de son frère ? « Bien sûr que j’en suis fier. Mais, en même temps » nuance-t-il « il n’a encore rien atteint d’exceptionnel. »
Pendant les Fêtes, Benjamin sera avec l’équipe nationale des moins de 18 ans. Du 26 au 30, il s’entraînera et jouera à Zuchwil, près de Soleure, dans le cadre du Tournoi des 5-Nations. Ses adversaires seront l’Allemagne, la République Tchèque, la Finlande et la Slovaquie.
« Ça fait partie de son caractère. Quand il arrive le matin, on ne sait pas toujours s’il est bien réveillé » confie avec malice Florian, son grand frère. « Il a toujours été très calme lorsqu’il joue. »
L’aîné des Conz – ils ont sept ans d’écart – est certainement le Grenat qui connaît le mieux Benjamin. Florian a-t-il été surpris par les performances de son frère ? « Oui et non. Ça fait quand même depuis le début de l’année qu’il s’entraîne avec la première équipe. Il a eu le temps de progresser et de se mettre au rythme de la LNA, même si ça reste des entraînements. Lorsqu’il a joué, il a plus ou moins bien fait son travail. Et l’équipe l’a bien aidé, ce qui est positif. »
Le relativisme de l’attaquant s’explique par deux ou trois erreurs de jeunesse commises par le gardien : « elles sont normales : il lui manque encore l’expérience de la LNA » expliquait Sébastien Beaulieu après le match du 12 décembre à Langnau.
Cette seule ombre au tableau ne vient en rien gâcher les performances de Benjamin. Au contraire, Florian reconnaît que son cadet à joué un rôle important dans les dernières rencontres des Aigles : « Chaque fois qu’il a joué, il nous a permis de rester dans la rencontre. » De plus, il a su résister à la pression de l’enjeu : « Il n’a pas craqué mentalement, ce qui est bon pour lui. »
Alors, Florian est-il fier de son frère ? « Bien sûr que j’en suis fier. Mais, en même temps » nuance-t-il « il n’a encore rien atteint d’exceptionnel. »
Pendant les Fêtes, Benjamin sera avec l’équipe nationale des moins de 18 ans. Du 26 au 30, il s’entraînera et jouera à Zuchwil, près de Soleure, dans le cadre du Tournoi des 5-Nations. Ses adversaires seront l’Allemagne, la République Tchèque, la Finlande et la Slovaquie.