Après avoir subi une fracture au scaphoïde le 15 janvier dernier à Davos, Jan Cadieux avait dû mettre un terme à sa saison en mars, suite quelques complications liées à sa blessure. L’attaquant genevois a donc suivi les Playoffs depuis les tribunes. Hier, il a subi une nouvelle opération, sensée être la dernière liée à cette fracture.
gshc.ch : « Salut Jan. Hier, tu as subi une nouvelle opération au poignet, comment est-ce que ça s’est passé et qu’est-ce que les médecins ont effectué comme gestes ? » Jan Cadieux : « Ça a très bien été. Il s’agissait d’une opération de routine durant laquelle les médecins ont retiré les broches qu’ils avaient installées lors de ma précédente opération. De plus, ils ont vérifié la solidité de mon scaphoïde. » gshc.ch : « Tu as beaucoup travaillé la base de ta condition physique ses derniers temps. Quelle va être la suite du programme pour toi ? » Jan Cadieux : « Depuis quatre semaines, je travaille avec Xavier Jolis la base de ma condition physique en faisant des exercices pour le bas du corps. J’avais perdu cinq kilos de muscle suite à mon inactivité, j’en ai déjà repris trois avec cet entraînement physique. Pour la suite, je pense que nous allons partir sur un mélange entre ce que je faisais jusqu’à maintenant et ce que je pourrai faire comme exercice au niveau du haut du corps. » gshc.ch : « Et au niveau médical ? » Jan Cadieux : « Dès demain, je porterai une attelle que je pourrai enlever pour m’entraîner. Je dois encore rencontrer les médecins demain pour vérifier que tout s’est bien passé et que j’ai bien récupéré de l’opération d’hier. Il y aura encore une évaluation médicale en juillet pour, éventuellement, fixer une date à laquelle je pourrai à nouveau travailler comme mes coéquipiers. » gshc.ch : « Il y aura quand même de la physiothérapie entre deux… » Jan Cadieux : « Oui, mais le début de la thérapie n’est pas encore décidé. Cela dépendra de la discussion que nous aurons demain avec les médecins. Normalement, je devrais commencer les traitements d’ici deux semaines. Il s’agira de regagner la mobilité du poignet suite à une immobilisation qui dure depuis janvier. »