L’équipe nationale suisse poursuit sa préparation en vue des Mondiaux de Moscou avec trois Grenat. Parmi ceux-ci, le défenseur John Gobbi est le seul à ne pas avoir pris part à un Championnat du Monde. De plus, il doit faire face à une rude concurrence. L’équipe du gshc.ch l’a contacté pour faire le point.
gshc.ch : « Salut John. L’aventure continue pour toi, c’est une bonne nouvelle… »
John Gobbi : « C’est clair que c’est une bonne nouvelle. Pour l’instant, je travaille dur pour garder ma place, mais je ne sais pas jusqu’à quand je l’aurais. On verra par la suite. En tout cas, c’est du bonus pour moi de pouvoir participer aux différentes phases de préparation des Mondiaux. »
gshc.ch : « La suite du programme, ce sont deux matchs contre la Russie, deux matchs importants pour la sélection finale de Ralph Krueger. Sais-tu si tu vas jouer ces deux rencontres ? »
John Gobbi : « Pour le moment, nous somme neuf défenseurs. Il y a en plus les deux Bernois (ndlr : Beat Gerber et Martin Steinegger) qui arrivent demain (lire aujourd’hui). J’espère jouer au moins un match ; si c’est deux, tant mieux pour moi ! De toute façon, Ralph Krueger décide qui joue de jour en jour. Je saurai donc vendredi si je joue vendredi et samedi si je joue samedi. »
gshc.ch : « L’arrivée des finalistes et de Mark Streit augmentent le niveau de la concurrence en défense. Quelles sont tes chances ? »
John Gobbi : « Avec la fin de la finale et la non participation aux Playoffs de Montréal, nous serons 12 défenseurs. Je pense que Krueger va retrancher deux voir trois défenseurs. Mais je n’y pense pas et je donne mon maximum. Si mon aventure avec la Nati se termine ce week-end, ce n’est pas grave, car j’aurais tout donné et vécu une belle aventure et une très bonne expérience. »
gshc.ch : « As-tu discuté avec le staff technique pour connaître ce qu’ils attendent de toi ? »
John Gobbi : « Non, pas trop. Mais je connais mon rôle : je dois jouer défensif, simple, être agressif et jouer l’homme. Si je remplis de manière satisfaisante ces différents critères, j’ai des chances de rester. »
gshc.ch : « Salut John. L’aventure continue pour toi, c’est une bonne nouvelle… »
John Gobbi : « C’est clair que c’est une bonne nouvelle. Pour l’instant, je travaille dur pour garder ma place, mais je ne sais pas jusqu’à quand je l’aurais. On verra par la suite. En tout cas, c’est du bonus pour moi de pouvoir participer aux différentes phases de préparation des Mondiaux. »
gshc.ch : « La suite du programme, ce sont deux matchs contre la Russie, deux matchs importants pour la sélection finale de Ralph Krueger. Sais-tu si tu vas jouer ces deux rencontres ? »
John Gobbi : « Pour le moment, nous somme neuf défenseurs. Il y a en plus les deux Bernois (ndlr : Beat Gerber et Martin Steinegger) qui arrivent demain (lire aujourd’hui). J’espère jouer au moins un match ; si c’est deux, tant mieux pour moi ! De toute façon, Ralph Krueger décide qui joue de jour en jour. Je saurai donc vendredi si je joue vendredi et samedi si je joue samedi. »
gshc.ch : « L’arrivée des finalistes et de Mark Streit augmentent le niveau de la concurrence en défense. Quelles sont tes chances ? »
John Gobbi : « Avec la fin de la finale et la non participation aux Playoffs de Montréal, nous serons 12 défenseurs. Je pense que Krueger va retrancher deux voir trois défenseurs. Mais je n’y pense pas et je donne mon maximum. Si mon aventure avec la Nati se termine ce week-end, ce n’est pas grave, car j’aurais tout donné et vécu une belle aventure et une très bonne expérience. »
gshc.ch : « As-tu discuté avec le staff technique pour connaître ce qu’ils attendent de toi ? »
John Gobbi : « Non, pas trop. Mais je connais mon rôle : je dois jouer défensif, simple, être agressif et jouer l’homme. Si je remplis de manière satisfaisante ces différents critères, j’ai des chances de rester. »