Né à Samedan d’un père davosien et d’une mère originaire de son village natal, Flurin Randegger a découvert la Coupe Spengler lors de son adolescence puisqu’il a grandi à Bâle. Junior au HC Davos, il n’a jamais eu sa chance pour le tournoi de fin d’année, tout comme son frère Gian-Andrea (actuellement avec Ambrì-Piotta). Cette année, avec Genève-Servette, le Grison réalise son rêve d’enfant : disputé le plus vieux tournoi européen de hockey sur glace.
Durant la semaine de compétition, l’équipe du gshc.ch va donner la parole à Randegger pour qu’il nous parle de son tournoi. Auteur du premier but genevois, Flurin est ressorti avec le sourire de la deuxième rencontre de la Coupe Spengler du GSHC. Son but « Il a vraiment libéré tout le monde sur ce match. Je suis vraiment très heureux, pour cette réussite, et de la façon dont nous avons joué. Nous n’avons jamais lâché durant la rencontre, ce qui nous a permis de décrocher la victoire. » Jamais évident « C’était un jeu différent, celui pratiqué par les Praguois. Il y avait un peu moins de technique que chez Saint-Pétersbourg. Au début, c’était un peu bizarre pour entrer dans le match. Nous avons très bien joué dès le deuxième tiers et nous avons encore mieux joué au troisième tiers. Je suis très content. » Repos demain « Je me réjouis de la journée de demain. Nous ne savons pas encore quel sera notre programme pour demain. J’espère que ce sera une journée agréable où nous pourrons bien nous détendre. »