Cinq joueurs genevois ont déjà revêtu la tunique du Postfinance TopScorer cette saison : Goran Bezina, Thomas Deruns, Jean-Pierre Vigier, Juraj Kolnik et Byron Ritchie. Bezina l’a portée lors du match d’ouverture puisque que comme le veut la tradition, le capitaine est toujours le premier TopScorer de son équipe. Ritchie, quant à lui, l’avait porté en tant que meilleur pointeur aligné lors de la rencontre à Langnau le 23 septembre, puisque Kolnik était surnuméraire.
Le premier « vrai » TopScorer grenat a donc été Thomas Deruns. Au match suivant, le Neuchâtelois abandonnait sa tunique à Vigier avant de reprendre le maillot jaune pour deux rencontres. Depuis le 19 septembre, après la défaite aux tirs au but à Bienne, c’était officiellement Juraj Kolnik qui avait retrouvé sa tunique de TopScorer ; mais depuis le dernier derby, c’est Byron Ritchie qui est passé devant le Slovaque.
Plus précisément, Kolnik et Ritchie sont à égalité au nombre de points, mais Ritchie compte une rencontre de moins que son coéquipier. Un détail qui avait échappé au Canadien : « je ne savais même pas que ce serait moi le TopScorer jeudi soir ».
L’équipe du gshc.ch a demandé aux deux hommes actuellement concernés par le rôle de TopScorer quel importance représentait un tel maillot :
Juraj Kolnik : « C’est juste l’honneur de porter un maillot distinctif. Je crois que c’est quelque chose de bien pour les supporters, car ils peuvent plus facilement reconnaître le meilleur compteur de chaque équipe. »
Byron Ritchie: « Ce qui compte, c’est de bien jouer. Ça n’a pas beaucoup d’importance de savoir si c’est Kolnik, moi ou un autre joueur qui porte le maillot, surtout si l’équipe gagne et si tu sens que tu joues bien. »
Pour Kolnik, le match contre Ambrì-Piotta sera le premier depuis le 20 septembre où il ne revêtira pas le maillot aux flammes. Une chose rare pour le Slovaque qui l’avait porté pratiquement toute la saison dernière. Comment se sent-il à l’idée de jouer sans « son » chandail ? « Je n’ai pas de problème avec le fait de ne pas être TopScorer. Si je ne le porte pas, cela veux dire que je ne le mérite pas. C’est bien de l’avoir, mais c’est aussi agréable de ne pas le porter au prochain match. Je vais pouvoir me concentrer sur autre chose que sur ce maillot. » Cela voudra-t-il dire plus de libertés de mouvements pour Juraj ? « Certainement, car chaque fois que tu es sur la glace avec le maillot et le casque de TopScorer, les joueurs adverses cherchent où tu te trouves. » Puis, d’ajouter avec une pointe d’humour : « Heureusement, ce ne sera pas sur moi que les adversaires se concentreront jeudi soir. »
Pour Byron Ritchie, le fait de revêtir le maillot de TopScorer illustre surtout son état de forme : « Manqué une partie du camp d’entraînement ne m’a pas permis d’être tout de suite au meilleur de ma forme. Je me sens mieux à chaque match et ça se voit sur la glace. »
Jeudi soir, lors de la venue d’Ambrì-Piotta aux Vernets (19h45), et à moins qu’il ne soit surnuméraire, Byron Ritchie deviendra donc officiellement le cinquième TopScorer des Aigles. Et, cette fois.ci, sans être le substitut d’un autre.
Le premier « vrai » TopScorer grenat a donc été Thomas Deruns. Au match suivant, le Neuchâtelois abandonnait sa tunique à Vigier avant de reprendre le maillot jaune pour deux rencontres. Depuis le 19 septembre, après la défaite aux tirs au but à Bienne, c’était officiellement Juraj Kolnik qui avait retrouvé sa tunique de TopScorer ; mais depuis le dernier derby, c’est Byron Ritchie qui est passé devant le Slovaque.
Plus précisément, Kolnik et Ritchie sont à égalité au nombre de points, mais Ritchie compte une rencontre de moins que son coéquipier. Un détail qui avait échappé au Canadien : « je ne savais même pas que ce serait moi le TopScorer jeudi soir ».
L’équipe du gshc.ch a demandé aux deux hommes actuellement concernés par le rôle de TopScorer quel importance représentait un tel maillot :
Juraj Kolnik : « C’est juste l’honneur de porter un maillot distinctif. Je crois que c’est quelque chose de bien pour les supporters, car ils peuvent plus facilement reconnaître le meilleur compteur de chaque équipe. »
Byron Ritchie: « Ce qui compte, c’est de bien jouer. Ça n’a pas beaucoup d’importance de savoir si c’est Kolnik, moi ou un autre joueur qui porte le maillot, surtout si l’équipe gagne et si tu sens que tu joues bien. »
Pour Kolnik, le match contre Ambrì-Piotta sera le premier depuis le 20 septembre où il ne revêtira pas le maillot aux flammes. Une chose rare pour le Slovaque qui l’avait porté pratiquement toute la saison dernière. Comment se sent-il à l’idée de jouer sans « son » chandail ? « Je n’ai pas de problème avec le fait de ne pas être TopScorer. Si je ne le porte pas, cela veux dire que je ne le mérite pas. C’est bien de l’avoir, mais c’est aussi agréable de ne pas le porter au prochain match. Je vais pouvoir me concentrer sur autre chose que sur ce maillot. » Cela voudra-t-il dire plus de libertés de mouvements pour Juraj ? « Certainement, car chaque fois que tu es sur la glace avec le maillot et le casque de TopScorer, les joueurs adverses cherchent où tu te trouves. » Puis, d’ajouter avec une pointe d’humour : « Heureusement, ce ne sera pas sur moi que les adversaires se concentreront jeudi soir. »
Pour Byron Ritchie, le fait de revêtir le maillot de TopScorer illustre surtout son état de forme : « Manqué une partie du camp d’entraînement ne m’a pas permis d’être tout de suite au meilleur de ma forme. Je me sens mieux à chaque match et ça se voit sur la glace. »
Jeudi soir, lors de la venue d’Ambrì-Piotta aux Vernets (19h45), et à moins qu’il ne soit surnuméraire, Byron Ritchie deviendra donc officiellement le cinquième TopScorer des Aigles. Et, cette fois.ci, sans être le substitut d’un autre.