04 mars 2009

Mes Playoffs avec… Chris Rivera

Aujourd’hui, le témoin privilégié du gshc.ch, Chris Rivera, n’a pas voulu trop épiloguer sur la défaite d’hier soir. En effet, il estime que tout à été plus ou moins dit et préfère se concentrer sur le quatrième duel de ce quart.

Match à pénalités « Il n’y a pas grand-chose à dire. On a été indiscipliné sur la longueur du match en prenant beaucoup trop de pénalités. En plus, deux réussites encaissées en double infériorité, ça fait mal. Le résumé du match pourrait malheureusement être les pénalités. Encore une fois, c’est un match à oublier très vite. »   Sauver l’honneur ? « Il n’y a pas à sauver l’honneur demain, juste gagner. Aujourd’hui, on a dû faire notre meilleur entraînement depuis le début des Playoffs. Je crois que quelque chose s’est réveillé dans l’équipe. Demain ne sera pas le dernier match de l’honneur. Au contraire, on va prendre match après match, comme si c’était le dernier de notre vie, comme si on devait gagner la coupe. C’est la seule chose à faire et c’est comme cela que les équipes reviennent. On a d’ailleurs déjà vu des retournements de situations. Dernièrement, les juniors élites sont passés de 0-3 à 3-3 contre Lausanne, avant de perdre au septième match. Pourquoi ne pourrions-nous pas le faire ? Je pense qu’on a le groupe pour. Il faudra travailler tous ensemble, rester disciplinés et faire ce qu’on a à faire. »   Imiter Davos en quart 2008 « Il faut prendre toutes les sources d’inspiration possibles. Surtout si ce sont des séries qui passent de 0-3 à 4-3, comme entre Davos et Zoug la saison passée. Mais il faut le faire à notre sauce : on est Genève-Servette pas Davos. En plus, c’est une autre série. Personnellement, je pense que, si on arrive à marquer les premiers demain soir, si notre gardien fait des prouesses et que tout va bien, on a nos chances. On n’a plus grand-chose d’autre à faire de toute façon, hormis croire en nos chances et travailler le plus dur que l’on peut. Et on espère que le public sera derrière nous malgré tout. »   « Mourir » sur la glace « Demain, il faudra se battre, jusqu’à la « mort ». C’est bien sûr une expression. Il faut qu’on donne tout, jusqu’à ce qu’on ne puisse plus rien faire puisque on serait éliminé. Il y a soixante minutes à jouer demain. Il faudra jouer durant tout ce temps. Si on gagne, on aura droit à une nouvelle chance. Et on remettra ça si on gagne. Il n’y a plus que ça à faire. Donc, demain, on va se battre jusqu’au bout. »

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