A l’orée de la dernière semaine du championnat, l’équipe du gshc.ch a retrouvé son témoin privilégié des Playoffs, Juraj Kolnik, afin de revenir avec lui sur le match de samedi soir.
2-2 : le retour de Zurich
« Rien n’est facile dans cette Finale. On a été chanceux sur les deux premiers matchs, ils l’ont été lors des deux derniers. Maintenant, nous jouerons de nouveau à la maison demain soir ; nous ferons tout pour nous imposer afin, aussi, d’aller à Zurich avec l’avantage de mener à nouveau dans la série. »
La latte de Gobbi et le but de Sejna
« La chance ne nous suit pas en permanence. Nous étions tout proches de la victoire samedi. Nous avons touché la latte, puis ils ont marqué le but de la victoire à quatre minutes de la fin. Comme je l’ai toujours dit, nous devons rester disciplinés, ne pas prendre trop de pénalités pour ne pas leur donner de jeux de puissance. Quand nous jouons à cinq contre cinq, nous sommes supérieurs à Zurich. »
Jouer aux côtés de Serge Aubin
« Quelque soit mon partenaire sur la glace, je joue mon jeu et je sais ce que je dois faire. Ce n’est pas moi qui fais les lignes, donc je dois m’adapter. Tout ce que je peux, et dois, faire, c’est jouer et travailler dur durant les soixante minutes du match. C’est la seule chose que je peux contrôler. »
2-2 : le retour de Zurich
« Rien n’est facile dans cette Finale. On a été chanceux sur les deux premiers matchs, ils l’ont été lors des deux derniers. Maintenant, nous jouerons de nouveau à la maison demain soir ; nous ferons tout pour nous imposer afin, aussi, d’aller à Zurich avec l’avantage de mener à nouveau dans la série. »
La latte de Gobbi et le but de Sejna
« La chance ne nous suit pas en permanence. Nous étions tout proches de la victoire samedi. Nous avons touché la latte, puis ils ont marqué le but de la victoire à quatre minutes de la fin. Comme je l’ai toujours dit, nous devons rester disciplinés, ne pas prendre trop de pénalités pour ne pas leur donner de jeux de puissance. Quand nous jouons à cinq contre cinq, nous sommes supérieurs à Zurich. »
Jouer aux côtés de Serge Aubin
« Quelque soit mon partenaire sur la glace, je joue mon jeu et je sais ce que je dois faire. Ce n’est pas moi qui fais les lignes, donc je dois m’adapter. Tout ce que je peux, et dois, faire, c’est jouer et travailler dur durant les soixante minutes du match. C’est la seule chose que je peux contrôler. »