Après Tony Salmelainen, l’équipe du gshc.ch a fait le point avec Reto Suri. Le jeune attaquant participe pour la première fois à la préparation estivale de son équipe. C’est l’occasion pour lui de nous parler du programme chargé des Aigles et des nouveautés qu’il rencontre ces mois-ci.
gshc.ch : « Salut Reto. Où en es-tu dans ta préparation ? » Reto Suri : « Au début, c’était difficile, car je n’ai pas commencé en même temps que tout le monde. Cela fait trois semaines maintenant que je m’entraîne avec l’équipe. Parfois, c’est dur, parfois moins, mais c’est toujours d’un bon niveau. Chaque jour, que ce soit au Country Club, au karaté ou lors du travail d’endurance, nous avons toujours droit à de bons entraînements. C’est une bonne chose en vue de la saison à venir. » gshc.ch : « Le programme est chargé, notamment pour les joueurs de ta génération. La fatigue se fait-elle sentir ? » Reto Suri : « Bien sûr, nous nous sentons tous un peu fatigués. Mais, comme les entraînements sont vraiment différents, ça permet d’avoir du plaisir d’aller pratiquer chaque jour. Et comme c’est différent par jour, les changements d’entraînements rendent la fatigue moins importante. » gshc.ch : « Il y a une nouveauté par rapport à ce que tu as connu du côté de Kloten : le karaté. Comment découvres-tu cette approche de la préparation ? » Reto Suri : « Avec le karaté, Genève a eu une bonne idée. C’est un sport très différent de ce que nous pratiquons. Au début, personne n’avait la moindre idée de ce qu’était ce sport en terme de travail. Mais, maintenant que nous abordons des mouvements plus concrets, c’est un plus pour la préparation physique, notamment avec les pompes et le gainage. Les entraîneurs de karaté ne nous rendent pas la vie facile, mais c’est bon pour notre préparation. » gshc.ch : « La semaine prochaine est une semaine de « repos ». Ce sera l’occasion de recharger les batteries pour la suite de la préparation. » Reto Suri : « C’est une semaine plus tranquille. Ça fera du bien à tout le monde, surtout à ceux qui s’entraînent depuis cinq semaines. Mais nous continuons quand même à nous occuper avec d’autres sports comme le tennis ou le volley. Ça nous permettra de nous changer les idées. »