Chris McSorley a souhaité faire le point sur le cas « Rico Fata », suite à l’article paru ce jour dans la Tribune de Genève. « Ce n’est pas la politique du Club de discuter des contrats de joueurs avec les médias lorsque des négociations sont en cours » a-t-il commencé par déclarer, histoire de clarifier la situation par rapport aux propos tenus et retranscrits dans l’article. « Il faut bien comprendre qu'un directeur sportif garde à tous moments ouvertes toutes les possibilités concernant chaque joueur d’un effectif. »
« En ce moment, il y a de bonnes chances que Fata revienne au GSHC en 2012-2013, mais il est important qu’il fasse une saison pleine, soit à un niveau que nous sommes en droit d’attendre d’un étranger de sa valeur. »
« Concernant le manque de communication, c’est là une affirmation ridicule ! J’ai été entre 30 et 40 fois en contact avec l'agent de Rico Fata depuis la fin mars, comme le veut le protocole lors d’une négociation entre un club et un joueur. A la demande de Rico, son agent a demandé qu'il soit libéré de ses obligations envers le GSHC afin de pouvoir tenter de décrocher un contrat de longue durée, que ce soit en Suède, en Finlande ou dans un club en Suisse. Rico Fata est sous contrat et, comme tout joueur sous contrat, il a une valeur 'marchande'. Il ne fait évidemment pas exception à la règle ! »