L’équipe du gshc.ch propose une nouvelle rubrique : « Sous la loupe ». Cette nouvelle série d’article permettra de faire plus ample connaissance avec l’homme qui se cache derrière chaque joueur portant le maillot du Genève-Servette. Pour inaugurer ces nouveaux articles, nous nous sommes tournés vers John Gobbi.
- Nom : Gobbi
- Prénom : John
- Numéro : 43
- Place dans le vestiaire : Entre Goran Bezina et Jonathan Mercier
- Pourquoi Genève Servette ? En 2004, j’étais à un tournant de ma carrière. J’avais envie de vivre dans une grande ville pour pouvoir aussi aller à l’Université. Genève était la destination idéale. Et, en plus, j’étais bon à chaque fois que je venais jouer aux Vernets. Donc si je pouvais jouer mieux plus de 20 matches par saison.
- A quel âge et où as-tu commencé le hockey ? A 5 ans à Ambrì-Piotta.
- Quel est ton premier souvenir marquant lié au hockey ? C’était avec mon cousin à Ambrì. Lui avait des patins rouges plus beaux que les miens. Un jour, j’ai compris que si je venais plus tôt que lui à l’entraînement, je pouvais les lui piquer. Depuis ce jour là, c’est devenu ma paire de patin.
- A quel moment as-tu décidé que le hockey deviendrait ton métier ? Je n’ai jamais vraiment décidé de devenir un joueur professionnel. J’avais la secrète envie de partir aux USA pour faire une école et pratiquer le hockey en même temps, mais ça ne s’est pas fait. Vers 20-21 ans, j’ai vu que ça marchait bien pour moi et on m’a proposé un contrat pro à Ambrì. Je me suis dit que je devais saisir ma chance.
- Quel entraîneur t’a le plus marqué et pourquoi ? Tous les entraîneurs, depuis la catégorie « bambini », ont été importants pour moi. Mais Chris est celui qui a une place particulière par rapport aux autres. Il m’a fait passer d’un honnête joueur à un joueur de l’équipe nationale. Si j’en suis là où j’en suis, c’est en grande partie grâce à lui.
- Comment occupes-tu ton temps durant les trajets en car ? Je ne suis pas du genre à regarder les films. Je bosse pour l’Université, je surfe sur internet ou alors je lis. J’ai besoin de calme en fait.
- Que fais-tu en dehors du hockey ? Entre l’Université et le hockey, pas mal de mon temps est déjà occupé. Mais j’ai néanmoins une passion : la cuisine.
- Quel est on style de musique ? De la musique tranquille, qui me relaxe.
- Si tu n’étais pas devenu hockeyeur professionnel, que ferais-tu actuellement ? Je pense que je serais Manager en Economie. Ça m’a toujours attiré.
- Quels sont les deux adjectifs qui te caractérisent le mieux ? Têtu et travailleur. C’est assez lié en plus je trouve.
- Si tu invites quelqu’un pour manger, que cuisinerais-tu ? Un bon risotto avec une soupe de courge en entrée. C’est ma spécialité. J’accompagnerai d’un bon petit vin rouge tessinois.