Ce week-end, événement exceptionnel dans le hockey suisse et, plus particulièrement, en Romandie : deux matchs, deux équipes, deux derbies, une première dans l’histoire de la LNA.
En plus du fait que le GSHC et le HC Fribourg se connaissent bien pour avoir une belle rivalité depuis 2002 et la remontée de Genève-Servette en Elite, voilà les raisons pour lesquelles il ne faut absolument pas manquer ce double rendez-vous.
Deux matchs en moins de 24 heures
De par leurs programmations, les deux derbies se dérouleront en moins de 24 heures. Samedi soir, c’est sur le coup des 20h15 que le premier derby se disputera. Il aura lieu à la patinoire de Saint-Léonard à Fribourg. Pour celles et ceux qui ne pourront s’y rendre, la rencontre sera disponibles sur les ondes de la TSR ainsi que sur Radio Lac, le partenaire radio du GSHC.
Le lendemain, à 15h45, soit 19 heures et 30 minutes plus tard, les deux équipes se retrouveront à la patinoire des Vernets. Les deux clubs romands auront eu un déplacement et une courte nuit dans les jambes. Mais, comme souvent, le derby donne des ailes et ce n’est pas la fatigue qui arrêtera les acteurs de se donner à fond.
Un petit goût de demi-finale
Il y a neuf mois, Genève-Servette et Fribourg-Gottéron partageaient l’affiche des dernières demi-finales PLAYOFFS. Encore plus que lors des matchs de saison régulière, l’ambiance dans les deux arènes était à son paroxysme. Le résultat avait parlé en faveur de Genève-Servette, mais le grand gagnant était en fait le hockey romand. Un week-end comme celui-ci ne peut que raviver cette flamme attisée en mars dernier et déjà bien présente dans le cœur des supporters.
Des anciens dans les deux clubs
Genève-Servette a dans le passé « débauché » quelques anciens Fribourgeois. Depuis la saison passée, Fribourg s’est « vengé » en engageant d’anciens Grenat. Sous le maillot des dragons, ils sont désormais quatre depuis deux semaines. Si Wesley Snell a ouvert la voie, il a été rejoint depuis par Mike Knoepfli, Laurent Meunier et, tout récemment, Kirby Law. Dans leur nouvelle équipe, les ex-Aigles signent des performances de choix, pour le plus grand bonheur des supporters locaux.
A Genève, ils sont trois à avoir porté le chandail de Gottéron. Olivier Keller fut le premier d’entre eux. Le défenseur a côtoyé les joueurs ayant fait les belles années de Fribourg, à savoir le duo russe Bykov / Khomutov. Il y eut ensuite Goran Bezina. Le capitaine des Aigles a commencé sa carrière professionnelle à Saint-Léonard ; c’était lors de la dernière saison de Keller avec les Dragons. Enfin, Mona a gardé les buts fribourgeois pendant cinq saisons avant de rejoindre les Vernets où il fait depuis le bonheur des supporters grenat.
Deux entraîneurs charismatiques
En dehors des « zones d’influence » de leur club respectif, Serge Pelletier et Chris McSorley sont des incompris. Mais à l’intérieur de celles-ci, ils profitent d’un soutien sans limites. S’ils ne font pas l’unanimité, les deux entraîneurs ont pour eux des résultats convaincants. McSorley a redonné ses lettres de noblesse au hockey genevois avec comme point d’orgue l’accession en Finale PLAYOFFS 2008 ; Peletier a redoré le blason de Gottéron après les années de galère. Et ce n’est pas la non-reconduction de son contrat après une belle troisième place, il y a quelques saisons de cela, qui ont terni l’image de celui qu’on surnomme « M. Positif ».
Des matchs toujours intenses et des ambiances de feu
Un derby reste un derby : l’air est chargé en émotions et cela se ressent sur la glace. Cette atmosphère particulière pousse les joueurs à donner plus que le maximum. En cela, les joueurs sont bien aidés par les supporters des deux équipes qui essayent toujours de faire plus de bruits que le kop d’en face.
Même si les supporters s’envoient quelques noms d’oiseaux pour faire monter la tension, l’ambiance reste agréable lors des derbies. Ces affrontements restent quelque chose de spécial, mais les débordements sont extrêmement rares voire inexistants. En plus de bénéficier d’un jeu de très bonne qualité, ces matchs-là offrent aux spectateurs une ambiance de folie.
En plus du fait que le GSHC et le HC Fribourg se connaissent bien pour avoir une belle rivalité depuis 2002 et la remontée de Genève-Servette en Elite, voilà les raisons pour lesquelles il ne faut absolument pas manquer ce double rendez-vous.
Deux matchs en moins de 24 heures
De par leurs programmations, les deux derbies se dérouleront en moins de 24 heures. Samedi soir, c’est sur le coup des 20h15 que le premier derby se disputera. Il aura lieu à la patinoire de Saint-Léonard à Fribourg. Pour celles et ceux qui ne pourront s’y rendre, la rencontre sera disponibles sur les ondes de la TSR ainsi que sur Radio Lac, le partenaire radio du GSHC.
Le lendemain, à 15h45, soit 19 heures et 30 minutes plus tard, les deux équipes se retrouveront à la patinoire des Vernets. Les deux clubs romands auront eu un déplacement et une courte nuit dans les jambes. Mais, comme souvent, le derby donne des ailes et ce n’est pas la fatigue qui arrêtera les acteurs de se donner à fond.
Un petit goût de demi-finale
Il y a neuf mois, Genève-Servette et Fribourg-Gottéron partageaient l’affiche des dernières demi-finales PLAYOFFS. Encore plus que lors des matchs de saison régulière, l’ambiance dans les deux arènes était à son paroxysme. Le résultat avait parlé en faveur de Genève-Servette, mais le grand gagnant était en fait le hockey romand. Un week-end comme celui-ci ne peut que raviver cette flamme attisée en mars dernier et déjà bien présente dans le cœur des supporters.
Des anciens dans les deux clubs
Genève-Servette a dans le passé « débauché » quelques anciens Fribourgeois. Depuis la saison passée, Fribourg s’est « vengé » en engageant d’anciens Grenat. Sous le maillot des dragons, ils sont désormais quatre depuis deux semaines. Si Wesley Snell a ouvert la voie, il a été rejoint depuis par Mike Knoepfli, Laurent Meunier et, tout récemment, Kirby Law. Dans leur nouvelle équipe, les ex-Aigles signent des performances de choix, pour le plus grand bonheur des supporters locaux.
A Genève, ils sont trois à avoir porté le chandail de Gottéron. Olivier Keller fut le premier d’entre eux. Le défenseur a côtoyé les joueurs ayant fait les belles années de Fribourg, à savoir le duo russe Bykov / Khomutov. Il y eut ensuite Goran Bezina. Le capitaine des Aigles a commencé sa carrière professionnelle à Saint-Léonard ; c’était lors de la dernière saison de Keller avec les Dragons. Enfin, Mona a gardé les buts fribourgeois pendant cinq saisons avant de rejoindre les Vernets où il fait depuis le bonheur des supporters grenat.
Deux entraîneurs charismatiques
En dehors des « zones d’influence » de leur club respectif, Serge Pelletier et Chris McSorley sont des incompris. Mais à l’intérieur de celles-ci, ils profitent d’un soutien sans limites. S’ils ne font pas l’unanimité, les deux entraîneurs ont pour eux des résultats convaincants. McSorley a redonné ses lettres de noblesse au hockey genevois avec comme point d’orgue l’accession en Finale PLAYOFFS 2008 ; Peletier a redoré le blason de Gottéron après les années de galère. Et ce n’est pas la non-reconduction de son contrat après une belle troisième place, il y a quelques saisons de cela, qui ont terni l’image de celui qu’on surnomme « M. Positif ».
Des matchs toujours intenses et des ambiances de feu
Un derby reste un derby : l’air est chargé en émotions et cela se ressent sur la glace. Cette atmosphère particulière pousse les joueurs à donner plus que le maximum. En cela, les joueurs sont bien aidés par les supporters des deux équipes qui essayent toujours de faire plus de bruits que le kop d’en face.
Même si les supporters s’envoient quelques noms d’oiseaux pour faire monter la tension, l’ambiance reste agréable lors des derbies. Ces affrontements restent quelque chose de spécial, mais les débordements sont extrêmement rares voire inexistants. En plus de bénéficier d’un jeu de très bonne qualité, ces matchs-là offrent aux spectateurs une ambiance de folie.
