Il y a plusieurs catégories de joueurs qui forment une équipe de hockey sur glace. En plus des attaquants, des défenseurs et des gardiens, il existe des catégories hybrides, plus ou moins sous le feu des projecteurs. Si les défenseurs offensifs sont appréciés pour leurs contributions à la feuille de pointage, les attaquants défensifs sont plutôt dans l’ombre.
Souvent alignés sur les troisièmes lignes, et quasiment toujours contre les meilleures lignes adverses, leurs rôles consistent à empêcher l’adversaire de marquer. « Quand les premières lignes adverses ne marquent pas, cela veut dire que nous avons rempli notre mission » explique Jan Cadieux. « Ça reste un rôle gratifiant, car l’entraîneur voit notre travail » confie Paul Savary.
Au Genève-Servette, trois hommes occupent cette fonction : Jan Cadieux, Morris Trachsler et Paul Savary. Pour le dernier nommé, c’est un nouveau rôle qui lui est proposé depuis que Thomas Deruns est passé sur les deux premiers trios : « La différence avec ce que je faisais avant est que je dois prendre moins de risque » avoue-t-il. Pour Jan Cadieux, ce changement sur la ligne se voit surtout « au niveau du jeu physique, le domaine de prédilection de Thomas ; autrement, rien n’a changé pour nous ». Il est rejoint par Morris Trachsler : « Paul et Thomas n’ont pas les mêmes qualités, mais il n’y a pas de différence dans la façon de jouer face aux meilleurs joueurs adverses ».
Les deux « anciens » de la ligne partagent également le même avis sur l’adaptation de Savary au jeu plus défensif, comme le résume Jan Cadieux : « Nous sommes tous des professionnels, les adaptations se font rapidement ».
La troisième ligne genevoise remplit son rôle. Mais il y a quand même eu une petite période plus difficile. D’une voix unanime, les trois hommes parlent « d’un manque de chance » sur la plupart des buts encaissés ; Trachsler est un peu plus critique en évoquant « quelques buts évitables ». Cependant, tout est rentré dans l’ordre : « Depuis huit ou neuf matchs, on joue nettement mieux. On a amélioré notre performance défensive en plus d’ajouter quelques buts à notre compteur » conclut Jan Cadieux.
Souvent alignés sur les troisièmes lignes, et quasiment toujours contre les meilleures lignes adverses, leurs rôles consistent à empêcher l’adversaire de marquer. « Quand les premières lignes adverses ne marquent pas, cela veut dire que nous avons rempli notre mission » explique Jan Cadieux. « Ça reste un rôle gratifiant, car l’entraîneur voit notre travail » confie Paul Savary.
Au Genève-Servette, trois hommes occupent cette fonction : Jan Cadieux, Morris Trachsler et Paul Savary. Pour le dernier nommé, c’est un nouveau rôle qui lui est proposé depuis que Thomas Deruns est passé sur les deux premiers trios : « La différence avec ce que je faisais avant est que je dois prendre moins de risque » avoue-t-il. Pour Jan Cadieux, ce changement sur la ligne se voit surtout « au niveau du jeu physique, le domaine de prédilection de Thomas ; autrement, rien n’a changé pour nous ». Il est rejoint par Morris Trachsler : « Paul et Thomas n’ont pas les mêmes qualités, mais il n’y a pas de différence dans la façon de jouer face aux meilleurs joueurs adverses ».
Les deux « anciens » de la ligne partagent également le même avis sur l’adaptation de Savary au jeu plus défensif, comme le résume Jan Cadieux : « Nous sommes tous des professionnels, les adaptations se font rapidement ».
La troisième ligne genevoise remplit son rôle. Mais il y a quand même eu une petite période plus difficile. D’une voix unanime, les trois hommes parlent « d’un manque de chance » sur la plupart des buts encaissés ; Trachsler est un peu plus critique en évoquant « quelques buts évitables ». Cependant, tout est rentré dans l’ordre : « Depuis huit ou neuf matchs, on joue nettement mieux. On a amélioré notre performance défensive en plus d’ajouter quelques buts à notre compteur » conclut Jan Cadieux.