Sur la glace, il gère le bilan des buts encaissés par le Genève-Servette. Mais dès qu’il quitte les Vernets, Gianluca Mona gère tout autre chose. Le gardien des Aigles est en effet gérant de fortune, une activité qu’il exerce tout au long de l’année en parallèle de sa saison de sportif de haut niveau.
« Comme mes clients ne sont pas forcément Suisses, ils ne savent pas que je suis gardien de hockey » avoue Gianluca. Un constat qu’il dresse également pour ces collègues : « Ils ont suivi un peu plus mes performances durant les Playoffs, mais ils ont d’autres centres d’intérêt ». Ce qui permet à Mona de changer complètement d’univers lorsqu’il est au travail « bancaire ».
« A Fribourg, c’était différent, nous glisse-t-il. Dans la grande banque où je travaillais, plusieurs de mes collègues suivaient Gottéron et me parlaient de mes performances les lendemains de matchs. Personnellement, je préfère ne pas trop parler hockey quand je suis au travail alors la situation actuelle me convient tout à fait. »
« Comme mes clients ne sont pas forcément Suisses, ils ne savent pas que je suis gardien de hockey » avoue Gianluca. Un constat qu’il dresse également pour ces collègues : « Ils ont suivi un peu plus mes performances durant les Playoffs, mais ils ont d’autres centres d’intérêt ». Ce qui permet à Mona de changer complètement d’univers lorsqu’il est au travail « bancaire ».
« A Fribourg, c’était différent, nous glisse-t-il. Dans la grande banque où je travaillais, plusieurs de mes collègues suivaient Gottéron et me parlaient de mes performances les lendemains de matchs. Personnellement, je préfère ne pas trop parler hockey quand je suis au travail alors la situation actuelle me convient tout à fait. »