Dans ce troisième et dernier volet de son « Vu du banc » spécial saison, l’équipe du gshc.ch aborde avec Chris McSorley la fin des Playoffs, le départ de Hans et le futur de l’équipe.
La demi-finale contre Fribourg-Gottéron : la série de Jean-Pierre Vigier
« La réputation de Vigier est qu’il est un joueur de Playoffs. Il s’est réveillé lors de la série contre Fribourg. Il a fait un excellent travail et a été un joueur d’impact durant la série. Il a travaillé le long des bandes et a été solide devant le but adverse. Il a été un joueur fantastique durant les séries. »
La Finale contre Zurich : le rêve était tout proche
« Le titre était quelque chose que l’organisation et moi-même voulions offrir aux supporters. Nous menions 2-0. La perte de Vigier lors du match 3 nous a fait très mal ; c’était une absence difficile à digérer. Il était certainement notre meilleur joueur à ce moment de la Finale. En plus, avec les blessures de Cadieux et Savary, il nous manquait trois de nos six meilleurs attaquants. Ça nous a fait mal et nous n’avons pas été capables de combler ces pertes. »
Le départ en retraite de Hans Kossmann
« Je perds un très bon ami et un excellent connaisseur du hockey. C’est quelqu’un d’important dans le succès du Genève-Servette. On me donne souvent du crédit pour cela, mais ce dernier doit être partagé avec Hans. Le succès du GSHC a toujours été un effort commun de Hans et moi-même. J’ai souvent pu compter sur son opinion et ses décisions. Mais, même si je perds un très bon ami et un excellent connaisseur du hockey, nous gagnions également au change en la personne de Louis Matte. Pour moi, l’organisation doit toujours être plus grande qu’une seule personne : l’entité « Genève-Servette » est plus grande que moi, que Hans ou que n’importe quel joueur. C’est comme cela qu’il faut voir les choses et que nous allons continuer à avancer. »
La saison prochaine ?
« Je pense que nous aurons une nouvelle fois une excellente équipe. De plus, notre groupe devient plus mature. Nous ne voulons pas faire trop de changements pour être sûr que nos joueurs suisses deviennent meilleurs. Nous allons analyser la situation de nos étrangers pour être sûr d’avoir les meilleurs l’année prochaine. Certaines décisions difficiles devront être prises. Mais c’est mon travail de manager sportif de garantir aux supporters d’avoir la meilleure équipe possible. »
La demi-finale contre Fribourg-Gottéron : la série de Jean-Pierre Vigier
« La réputation de Vigier est qu’il est un joueur de Playoffs. Il s’est réveillé lors de la série contre Fribourg. Il a fait un excellent travail et a été un joueur d’impact durant la série. Il a travaillé le long des bandes et a été solide devant le but adverse. Il a été un joueur fantastique durant les séries. »
La Finale contre Zurich : le rêve était tout proche
« Le titre était quelque chose que l’organisation et moi-même voulions offrir aux supporters. Nous menions 2-0. La perte de Vigier lors du match 3 nous a fait très mal ; c’était une absence difficile à digérer. Il était certainement notre meilleur joueur à ce moment de la Finale. En plus, avec les blessures de Cadieux et Savary, il nous manquait trois de nos six meilleurs attaquants. Ça nous a fait mal et nous n’avons pas été capables de combler ces pertes. »
Le départ en retraite de Hans Kossmann
« Je perds un très bon ami et un excellent connaisseur du hockey. C’est quelqu’un d’important dans le succès du Genève-Servette. On me donne souvent du crédit pour cela, mais ce dernier doit être partagé avec Hans. Le succès du GSHC a toujours été un effort commun de Hans et moi-même. J’ai souvent pu compter sur son opinion et ses décisions. Mais, même si je perds un très bon ami et un excellent connaisseur du hockey, nous gagnions également au change en la personne de Louis Matte. Pour moi, l’organisation doit toujours être plus grande qu’une seule personne : l’entité « Genève-Servette » est plus grande que moi, que Hans ou que n’importe quel joueur. C’est comme cela qu’il faut voir les choses et que nous allons continuer à avancer. »
La saison prochaine ?
« Je pense que nous aurons une nouvelle fois une excellente équipe. De plus, notre groupe devient plus mature. Nous ne voulons pas faire trop de changements pour être sûr que nos joueurs suisses deviennent meilleurs. Nous allons analyser la situation de nos étrangers pour être sûr d’avoir les meilleurs l’année prochaine. Certaines décisions difficiles devront être prises. Mais c’est mon travail de manager sportif de garantir aux supporters d’avoir la meilleure équipe possible. »