Genève-Servette s’est à nouveau incliné hier soir face à Zurich. Les Aigles ont été barrés pour la troisième fois dans la course au titre par un club zurichois, mais les regrets ne sont pas au rendez-vous. Comme à chaque fois durant cette Finale, l’équipe du gshc.ch s’est tournée vers Hans Kossmann à l’heure de l’analyse pour ce « Vu du banc ».
gshc.ch : « Bonjour Hans. Un nouveau match qui se termine aux tirs au but avec une dernière défaite de Genève-Servette au final. »
Hans Kossmann : « Oui, et il y a de la déception dans ce résultat. Mais l’équipe a fait une sacrée saison, tous les joueurs se sont battus comme des guerriers. Au final, Zurich a eu un petit truc en plus. On a eu des chances, mais Zurich a certainement mieux géré que nous les moments tendus. C’est aussi une question de talent de mon point de vue. Zurich a une grosse équipe qui a su réagir aux circonstances défavorables : deux étrangers en méforme, de nombreux blessés. De notre côté, on ne peut qu’être fier de la façon dont nous nous sommes battus. Avec un peu plus de chance, on obtenait un septième match, car on n’était pas loin. J’espère que, pour l’équipe et les joueurs, ça ouvrira de nouvelles ambitions pour les prochaines années. »
gshc.ch : « La déception des joueurs est grande après ce match, mais, sur l’ensemble de la saison, c’était magnifique. Et Zurich était tout simplement meilleur en Finale. »
Hans Kossmann : « C’est clair, la saison était magnifique, et pas seulement parce que l’équipe est allée en Finale. Durant cette Finale, on a vu deux équipes tournées vers l’attaque, pas uniquement vers le jeu défensif. Il y a eu beaucoup de spectacle lors de ces six matchs. On n’a juste pas été capable de trouver ce petit plus qui fait la différence, la faute à Zurich. »
gshc.ch : « C’était ton dernier match de ta carrière d’entraîneur. Comment te sens-tu au moment de ranger ton costume d’entraîneur ? »
Hans Kossmann : « Je ne vais probablement rien ressentir durant les trois prochains jours. Non, c’est triste. Gagner le titre cette année aurait tenu du miracle, même si on n’en était pas loin. J’accepte ce fait, même si ça va certainement me manquer de ne pas l’avoir gagner. Mais la vie continue et je suis certainement prêt pour essayer d’autre chose. »
gshc.ch : « Bonjour Hans. Un nouveau match qui se termine aux tirs au but avec une dernière défaite de Genève-Servette au final. »
Hans Kossmann : « Oui, et il y a de la déception dans ce résultat. Mais l’équipe a fait une sacrée saison, tous les joueurs se sont battus comme des guerriers. Au final, Zurich a eu un petit truc en plus. On a eu des chances, mais Zurich a certainement mieux géré que nous les moments tendus. C’est aussi une question de talent de mon point de vue. Zurich a une grosse équipe qui a su réagir aux circonstances défavorables : deux étrangers en méforme, de nombreux blessés. De notre côté, on ne peut qu’être fier de la façon dont nous nous sommes battus. Avec un peu plus de chance, on obtenait un septième match, car on n’était pas loin. J’espère que, pour l’équipe et les joueurs, ça ouvrira de nouvelles ambitions pour les prochaines années. »
gshc.ch : « La déception des joueurs est grande après ce match, mais, sur l’ensemble de la saison, c’était magnifique. Et Zurich était tout simplement meilleur en Finale. »
Hans Kossmann : « C’est clair, la saison était magnifique, et pas seulement parce que l’équipe est allée en Finale. Durant cette Finale, on a vu deux équipes tournées vers l’attaque, pas uniquement vers le jeu défensif. Il y a eu beaucoup de spectacle lors de ces six matchs. On n’a juste pas été capable de trouver ce petit plus qui fait la différence, la faute à Zurich. »
gshc.ch : « C’était ton dernier match de ta carrière d’entraîneur. Comment te sens-tu au moment de ranger ton costume d’entraîneur ? »
Hans Kossmann : « Je ne vais probablement rien ressentir durant les trois prochains jours. Non, c’est triste. Gagner le titre cette année aurait tenu du miracle, même si on n’en était pas loin. J’accepte ce fait, même si ça va certainement me manquer de ne pas l’avoir gagner. Mais la vie continue et je suis certainement prêt pour essayer d’autre chose. »