Face à deux équipes du haut de classement, Genève-Servette a connu des fortunes diverses. Blanchis à Berne, les Aigles ont réagi avec le cœur lors de l’Opération Peluches contre Davos. Chris McSorley revient en compagnie de l’équipe du gshc.ch sur les matchs du week-end.
gshc.ch : « Bonjour Chris. A Berne, Genève-Servette a eu beaucoup de difficulté… »
Chris McSorley : « Il faut dire que Berne est une équipe qui nous renvoie notre propre image : les Bernois jouent de la même façon que nous. Il faut aussi avouer que John Van Boxmeer effectue un excellent travail avec son équipe. Ils ont pratiqué un jeu sans risque, avec une défense à trois hommes. Notre équipe s’est montrée aussi peu en forme, n’ayant pas eu la chance de travailler tous ensemble durant la semaine. En effet, quatre de nos étrangers étaient à Davos pour la Coupe Spengler. Après le match, l’équipe savait qu’elle devait réagir au plus vite. Avec Davos, nous avons affronté une équipe très intense et nous nous en sommes sortis avec un bon résultat. »
gshc.ch : « Cette victoire contre Davos était importante tant au niveau du classement que pour les supporters puisque Genève-Servette portait un maillot spécial. »
Chris McSorley : « Oui, en effet. Nous avons enfin vaincu la malédiction des maillots spéciaux ! C’est quelque chose d’agréable. Ce fut également une très belle soirée puisqu’il y avait l’Opération Peluches. Je profite pour féliciter les joueurs de Davos qui ont montré samedi soir beaucoup de classe en aidant les enfants à ramasser les peluches – j’ai trouvé ce geste vraiment très sympathique. Ils ont également montré beaucoup de classe après le match avec Benjamin Conz. Ils sont allés le féliciter en lui donnant une petite tape sur les jambières et, ce, avant que les deux équipes se serrent la main. Ce match était vraiment important, d’une part pour notre organisation et, d’autre part, pour montrer une nouvelle fois aux supporters que nous pouvons battre n’importe quelle équipe. »
gshc.ch : « L’Opération Peluches a de nouveau été un immense succès. »
Chris McSorley : « Genève-Servette a amené le concept en Suisse et en Europe. Plusieurs équipes ont repris le concept et, j’en suis sûr, d’autres équipes vont le faire ces prochaines années. C’est quelque chose que nous faisons pour une bonne raison : nous aidons la communauté, en l’occurrence les enfants hospitalisés. Nous sommes fiers de ce que nous faisons de nos événements lors des matchs, car ce n’est que pour des bonnes causes. »
gshc.ch : « Demain, match à Fribourg où Genève-Servette ne s’est jamais imposé cette saison… »
Chris McSorley : « Fribourg a une belle équipe, qui plus est au complet pour la rencontre de demain. Nous devrons donc battre une équipe en pleine possession de ses moyens. Ça nous demandera beaucoup de concentration et un état bon esprit pour battre Fribourg dans un environnement qui nous sera hostile. Aussi longtemps que nous resterons hors du banc des pénalités, nous aurons des chances d’obtenir un très bon résultat. »
gshc.ch : « Bonjour Chris. A Berne, Genève-Servette a eu beaucoup de difficulté… »
Chris McSorley : « Il faut dire que Berne est une équipe qui nous renvoie notre propre image : les Bernois jouent de la même façon que nous. Il faut aussi avouer que John Van Boxmeer effectue un excellent travail avec son équipe. Ils ont pratiqué un jeu sans risque, avec une défense à trois hommes. Notre équipe s’est montrée aussi peu en forme, n’ayant pas eu la chance de travailler tous ensemble durant la semaine. En effet, quatre de nos étrangers étaient à Davos pour la Coupe Spengler. Après le match, l’équipe savait qu’elle devait réagir au plus vite. Avec Davos, nous avons affronté une équipe très intense et nous nous en sommes sortis avec un bon résultat. »
gshc.ch : « Cette victoire contre Davos était importante tant au niveau du classement que pour les supporters puisque Genève-Servette portait un maillot spécial. »
Chris McSorley : « Oui, en effet. Nous avons enfin vaincu la malédiction des maillots spéciaux ! C’est quelque chose d’agréable. Ce fut également une très belle soirée puisqu’il y avait l’Opération Peluches. Je profite pour féliciter les joueurs de Davos qui ont montré samedi soir beaucoup de classe en aidant les enfants à ramasser les peluches – j’ai trouvé ce geste vraiment très sympathique. Ils ont également montré beaucoup de classe après le match avec Benjamin Conz. Ils sont allés le féliciter en lui donnant une petite tape sur les jambières et, ce, avant que les deux équipes se serrent la main. Ce match était vraiment important, d’une part pour notre organisation et, d’autre part, pour montrer une nouvelle fois aux supporters que nous pouvons battre n’importe quelle équipe. »
gshc.ch : « L’Opération Peluches a de nouveau été un immense succès. »
Chris McSorley : « Genève-Servette a amené le concept en Suisse et en Europe. Plusieurs équipes ont repris le concept et, j’en suis sûr, d’autres équipes vont le faire ces prochaines années. C’est quelque chose que nous faisons pour une bonne raison : nous aidons la communauté, en l’occurrence les enfants hospitalisés. Nous sommes fiers de ce que nous faisons de nos événements lors des matchs, car ce n’est que pour des bonnes causes. »
gshc.ch : « Demain, match à Fribourg où Genève-Servette ne s’est jamais imposé cette saison… »
Chris McSorley : « Fribourg a une belle équipe, qui plus est au complet pour la rencontre de demain. Nous devrons donc battre une équipe en pleine possession de ses moyens. Ça nous demandera beaucoup de concentration et un état bon esprit pour battre Fribourg dans un environnement qui nous sera hostile. Aussi longtemps que nous resterons hors du banc des pénalités, nous aurons des chances d’obtenir un très bon résultat. »