07 janvier 2008

Vu du banc – « On ne pouvait pas demander plus »

Le week-end difficile du Genève-Servette s’est transformé en véritable success story. Après Bâle, Kloten et Berne ont fait les frais d’Aigles indomptables qui commencent l’année 2008 de la meilleure de manière. Hans Kossmann revient avec l’équipe du gshc.ch sur les deux dernières victoires.

gshc.ch : « Bonjour Hans. Ce fut un très bon week-end pour Genève-Servette avec une victoire à Kloten et un magnifique succès contre Berne hier après-midi. »
Hans Kossmann : « Oui, c’est vrai. Hier, nous avons vu un superbe match contre Berne. Nous avons aussi fait ce qui était nécessaire pour gagner devant une patinoire pleine à craquer. C’était vraiment un très beau match qui était intense avec de belles occasions et des buts des deux côtés. Le tout était couronné par l’Opération Peluches. On ne pouvait pas demander plus ! »

gshc.ch : « Ce match contre Berne a été un des meilleurs matchs de la saison pour Genève-Servette, également pour Berne, voir sur l’ensemble de la NLA… »
Hans Kossmann : « C’est clair que c’était un très beau match. Je dois quand même avoué que j’avais un peu des craintes quand à l’énergie que nous aurions à disposition. Avec les absences de Savary et de Trachsler, on a été obligé de donner beaucoup de temps de glace à nos joueurs clés. Cependant, tous les joueurs ont trouvé la motivation pour gagner en voyant le nombreux public qui est venu hier. »

gshc.ch : « Cette semaine, Genève-Servette a un programme « léger ». Le club part demain deux jours à Nendaz. Un moment de détente après un bon succès ? »
Hans Kossmann : « Ça va nous faire du bien. Et tout spécialement à nos étrangers qui ont joué à la Coupe Spengler. Cette semaine, ils se sont bien battus et, je pense, ils sont un peu fatigués. On a quand même cinq à six jours pour recharger nos batteries. En plus, on n’a pas trop de matchs ces deux prochaines semaines ; ça donne une chance à Morris Trachsler de revenir gentiment au jeu. Je crois que son retour, si on n’a pas d’autres blessés d’ici là, va nous ramener un certain équilibre. Il nous manquera encore Paul Savary, mais il va falloir faire avec. »
Ce site utilise des cookies à des fins de statistiques, d’optimisation et de marketing ciblé. En poursuivant votre visite sur cette page, vous acceptez l’utilisation des cookies aux fins énoncées ci-dessus. En savoir plus.