Après le titre de la Russie acquis hier en soirée, l’équipe du gshc.ch vous propose un petit bilan des équipes nationales suisse, française et slovaque. En effet, quatre membres du Genève-Servette ont participé à ces Mondiaux sous les couleurs de ces différentes nations.
Suisse (7e rang final)
La Suisse peut avoir le sentiment du devoir accompli, avec un exploit à la clé. Dans son groupe, l’équipe suisse avait un adversaire « facile » (la France), un adversaire de son niveau (le Belarus) et un favori pour le titre mondial (la Suède). Les Helvètes ont parfaitement rempli leur mission en battant facilement la France et, un peu plus difficilement mais avec la manière, le Belarus. La place pour le deuxième tour acquise, les Suisses se sont présentés plus détendus face à la Suède. Les numéros un mondiaux ont d’ailleurs été surpris par le jeu suisse. Au final, les « boys » de Ralph Krueger ont signé un exploit en commençant le deuxième tour en tête.
Les choses se sont alors gâtées… Face aux Tchèques et aux Russes, les Helvètes ont retrouvé leurs complexes et ont été étouffés par ces grandes nations. Par contre, face à un Danemark nettement plus faible, ils ont joué et gagné avec la manière. La place en quart, et la qualification aux Jeux Olympiques de Vancouver, acquise, la Suisse n’avait plus rien à perdre face à la Russie. Mais face aux futurs Champions du Monde, les coéquipiers de Goran Bezina et Thomas Deruns se sont effondrés, ce qui gâche un peu la performance d’ensemble.
France (14e rang final)
Les Français, néo-promus, ont pu compter sur un groupe optimal : Sébastien Bordeleau et Cristobal Huet étant venus renforcer un effectif déjà bien fourni en joueurs évoluant dans les meilleurs championnats européens. Emmenés par leur capitaine Laurent Meunier, les Français ont joué sans complexe, même si la différence de niveau entre l’Elite et la Division I s’est fait sentir. Après une défaite contre la Suisse, la France a « payé » le cours succès des Suédois contre le Belarus s’inclinant lourdement face à des joueurs décidés à montrer leurs vraies valeurs (9-0). Par contre, les Français sont passés tout proche de l’exploit face au Belarus (1-3).
Sans son capitaine, victime d’une fracture du pied, la France a réussi à sauver sa place dans l’Elite, ce qui constituait son objectif initial. Face à l’Italie, les Français ont imposé leur style et leur jeu. Ils ont ainsi gagné le droit de retrouver la Suisse lors des Championnats du Monde 2009.
Slovaquie (13e rang final)
Le bilan n’est pas aussi réjouissant pour les Slovaques. Il a même failli être catastrophique pour les Champions du Monde 2002. Après un facile succès face aux Norvégiens, les Slovaques ont été surpris par les Allemands (2-4), une défaite qui aurait dû être une victoire. Alors qu’ils étaient au pied du mur, les Slovaques n’ont pas réussi à passer l’épaule face à la Finlande. Ils ont ensuite joué de malchance puisque la Norvège, surprise du tournoi avec une participation aux quarts de final, a battu l’Allemagne.
Condamné au tour de relégation, la Slovaquie a eu un sursaut d’orgueil. Dans le premier match, les Slovaques dominaient les Slovènes (5-1). Mais ils se relâchaient lors de la deuxième rencontre, ne s’imposant qu’après les tirs au but. Signalons que Juraj Kolnik a terminé deuxième compteur slovaque, 29e mondial et meilleur « Genevois » avec trois buts et quatre assistes.
Dans la semaine, gshc.ch vous proposera des interviews avec les Genevois qui ont participé aux mondiaux. Ils nous livrerons leur bilan personnel et leur vision de ces championnats du monde de Québec.
Suisse (7e rang final)
La Suisse peut avoir le sentiment du devoir accompli, avec un exploit à la clé. Dans son groupe, l’équipe suisse avait un adversaire « facile » (la France), un adversaire de son niveau (le Belarus) et un favori pour le titre mondial (la Suède). Les Helvètes ont parfaitement rempli leur mission en battant facilement la France et, un peu plus difficilement mais avec la manière, le Belarus. La place pour le deuxième tour acquise, les Suisses se sont présentés plus détendus face à la Suède. Les numéros un mondiaux ont d’ailleurs été surpris par le jeu suisse. Au final, les « boys » de Ralph Krueger ont signé un exploit en commençant le deuxième tour en tête.
Les choses se sont alors gâtées… Face aux Tchèques et aux Russes, les Helvètes ont retrouvé leurs complexes et ont été étouffés par ces grandes nations. Par contre, face à un Danemark nettement plus faible, ils ont joué et gagné avec la manière. La place en quart, et la qualification aux Jeux Olympiques de Vancouver, acquise, la Suisse n’avait plus rien à perdre face à la Russie. Mais face aux futurs Champions du Monde, les coéquipiers de Goran Bezina et Thomas Deruns se sont effondrés, ce qui gâche un peu la performance d’ensemble.
France (14e rang final)
Les Français, néo-promus, ont pu compter sur un groupe optimal : Sébastien Bordeleau et Cristobal Huet étant venus renforcer un effectif déjà bien fourni en joueurs évoluant dans les meilleurs championnats européens. Emmenés par leur capitaine Laurent Meunier, les Français ont joué sans complexe, même si la différence de niveau entre l’Elite et la Division I s’est fait sentir. Après une défaite contre la Suisse, la France a « payé » le cours succès des Suédois contre le Belarus s’inclinant lourdement face à des joueurs décidés à montrer leurs vraies valeurs (9-0). Par contre, les Français sont passés tout proche de l’exploit face au Belarus (1-3).
Sans son capitaine, victime d’une fracture du pied, la France a réussi à sauver sa place dans l’Elite, ce qui constituait son objectif initial. Face à l’Italie, les Français ont imposé leur style et leur jeu. Ils ont ainsi gagné le droit de retrouver la Suisse lors des Championnats du Monde 2009.
Slovaquie (13e rang final)
Le bilan n’est pas aussi réjouissant pour les Slovaques. Il a même failli être catastrophique pour les Champions du Monde 2002. Après un facile succès face aux Norvégiens, les Slovaques ont été surpris par les Allemands (2-4), une défaite qui aurait dû être une victoire. Alors qu’ils étaient au pied du mur, les Slovaques n’ont pas réussi à passer l’épaule face à la Finlande. Ils ont ensuite joué de malchance puisque la Norvège, surprise du tournoi avec une participation aux quarts de final, a battu l’Allemagne.
Condamné au tour de relégation, la Slovaquie a eu un sursaut d’orgueil. Dans le premier match, les Slovaques dominaient les Slovènes (5-1). Mais ils se relâchaient lors de la deuxième rencontre, ne s’imposant qu’après les tirs au but. Signalons que Juraj Kolnik a terminé deuxième compteur slovaque, 29e mondial et meilleur « Genevois » avec trois buts et quatre assistes.
Dans la semaine, gshc.ch vous proposera des interviews avec les Genevois qui ont participé aux mondiaux. Ils nous livrerons leur bilan personnel et leur vision de ces championnats du monde de Québec.