L’incontournable numéro 12 du GSHC a été intronisé au « Hall of Fame » du Hockey mondial vendredi dernier. La cérémonie avait été organisée en parallèle des championnats du monde de Québec. Philippe Bozon s’est dit ému et plus nerveux que pour un match de hockey.
Premier français a évolué dans la grande ligue nord américaine, il compte 163 matchs avec St Louis (de 1992-95). En France, il a remporté trois titres de Champion (1984, 1988 et 1991) ainsi que les distinctions de meilleur joueur (1989) et meilleur espoir (1984). En Allemagne, le « Boz » a également remporté trois titres nationaux et a terminé sa carrière sous le maillot Grenat du Genève-Servette, où il a marqué les esprits de tous les supporters genevois en participant à la folle ascension du club.
Philippe Bozon a été intronisé en même temps que cinq autres légendes du hockey mondial : les Canadiens Mario Lemieux, Geraldine Heaney et Angela James, le Russe Igor Larionov et l’américain Cammi Granato, des Etats-Unis, un honneur de plus pour le français qui rejoint ainsi ses compatriotes Louis Magnus et Jacques Lacarrière.
Seule fausse note, l’IIHF avait mal imprimé son maillot remplaçant le deuxième « o » de son nom par un « e ». Une petite fausse note qui n’a en rien altéré le plaisir du « Boz »
Premier français a évolué dans la grande ligue nord américaine, il compte 163 matchs avec St Louis (de 1992-95). En France, il a remporté trois titres de Champion (1984, 1988 et 1991) ainsi que les distinctions de meilleur joueur (1989) et meilleur espoir (1984). En Allemagne, le « Boz » a également remporté trois titres nationaux et a terminé sa carrière sous le maillot Grenat du Genève-Servette, où il a marqué les esprits de tous les supporters genevois en participant à la folle ascension du club.
Philippe Bozon a été intronisé en même temps que cinq autres légendes du hockey mondial : les Canadiens Mario Lemieux, Geraldine Heaney et Angela James, le Russe Igor Larionov et l’américain Cammi Granato, des Etats-Unis, un honneur de plus pour le français qui rejoint ainsi ses compatriotes Louis Magnus et Jacques Lacarrière.
Seule fausse note, l’IIHF avait mal imprimé son maillot remplaçant le deuxième « o » de son nom par un « e ». Une petite fausse note qui n’a en rien altéré le plaisir du « Boz »