Héros samedi soir, Federico Tamo a prouvé qu’il pouvait s’illustrer lors d’un match de LNA. Pendant 28 minutes, il a fait le désespoir des attaquants zougois signant un très honorable 15 sur 15 vis-à-vis des tirs adverses. Rencontre avec l’autre gardien léventin de Genève-Servette.
gshc.ch : « Salut Federico. Que t’est-il passé dans la tête lorsque tu as dû remplacer Gianluca samedi soir ? »
Federico Tamo : « Je n’ai pas vraiment eu le temps de penser à ce qui se passait. Je devais prendre mon équipement, rejoindre ma cage et entrer dans le match le plus vite possible. Je pense que j’ai plutôt bien réussi ce dernier aspect. »
gshc.ch : « En plus, tu as pu compter sur tes coéquipiers qui se sont bien regroupés autour de toi. »
Federico Tamo : « Oui, et ça aide. J’ai pu me concentrer pleinement sur mon travail grâce à leur soutien. Je n’avais plus qu’à arrêter les tirs adverses. Si j’accordais un rebond, je savais qu’ils étaient là pour soit récupérer le palet soit me permettre de le récupérer. »
gshc.ch : « Tu es redevenu numéro 2 lors du match de dimanche avec la titularisation de Benjamin Conz. Ce n’est pas trop difficile de retrouver ce rôle ? »
Federico Tamo : « Non, car je suis d’abord à Genève pour être numéro 2 lors des matchs. Samedi, j’ai pu prouver que je pouvais remplacer un titulaire au pied levé et livrer la marchandise. Le coach sait qu’il peut me faire confiance en cas de pépin. C’est clair que l’envie de jouer est là, mais je connais mon rôle. »
gshc.ch : « Et si tu devais commencer un match, comment l’aborderais-tu ? »
Federico Tamo : « J’essayerai de ne pas l’aborder différemment que ce que j’ai fait samedi. Qu’on entre à la première minute ou à la trentième, le boulot est le même. Il faut arrêter les tirs adverses sans se poser de question. »
gshc.ch : « Salut Federico. Que t’est-il passé dans la tête lorsque tu as dû remplacer Gianluca samedi soir ? »
Federico Tamo : « Je n’ai pas vraiment eu le temps de penser à ce qui se passait. Je devais prendre mon équipement, rejoindre ma cage et entrer dans le match le plus vite possible. Je pense que j’ai plutôt bien réussi ce dernier aspect. »
gshc.ch : « En plus, tu as pu compter sur tes coéquipiers qui se sont bien regroupés autour de toi. »
Federico Tamo : « Oui, et ça aide. J’ai pu me concentrer pleinement sur mon travail grâce à leur soutien. Je n’avais plus qu’à arrêter les tirs adverses. Si j’accordais un rebond, je savais qu’ils étaient là pour soit récupérer le palet soit me permettre de le récupérer. »
gshc.ch : « Tu es redevenu numéro 2 lors du match de dimanche avec la titularisation de Benjamin Conz. Ce n’est pas trop difficile de retrouver ce rôle ? »
Federico Tamo : « Non, car je suis d’abord à Genève pour être numéro 2 lors des matchs. Samedi, j’ai pu prouver que je pouvais remplacer un titulaire au pied levé et livrer la marchandise. Le coach sait qu’il peut me faire confiance en cas de pépin. C’est clair que l’envie de jouer est là, mais je connais mon rôle. »
gshc.ch : « Et si tu devais commencer un match, comment l’aborderais-tu ? »
Federico Tamo : « J’essayerai de ne pas l’aborder différemment que ce que j’ai fait samedi. Qu’on entre à la première minute ou à la trentième, le boulot est le même. Il faut arrêter les tirs adverses sans se poser de question. »
