Cette semaine, l’équipe du gshc.ch a voulu vous proposer une interview sur un ton décalé. Pour cela, il a semblé normal de se tourner vers Paul Savary, car le plus ancien Grenat a un grand sens de l’humour.
gshc.ch : « Salut Paul. Après le match contre Zurich, tu as déclaré que, si tu n’avais pas marqué, tu arrêtais le hockey. Il faut faire attention, on va te prendre au mot… »
Paul Savary : « Oui, mais je suis toujours là, donc je l’ai marqué. C’est terminé tout ça. Ce but, on en a bien parlé. Je pense qu’il faut qu’on passe à la suite et il faut que ça passe par un meilleur jeu, pas comme contre Lugano. Je ne suis pas content de moi sur ce match. Par contre, je suis très content de l’équipe ; donc ça c’est bien. »
gshc.ch : « Tu as commencé la saison à l’aile. Puis tu es revenu au centre avec la blessure de Morris Trachsler. Maintenant, tu rejoues à l’aile. Alors, tu es ailier ou joueur de centre ? »
Paul Savary : « Apparemment, l’entraîneur ne sait toujours pas où me mettre (rires). Il est possible que je me retrouve, lors des prochains matchs, en défense, voire aux buts. J’en sais rien pour le moment, on verra… »
gshc.ch : « Genève-Servette joue les prolongations lors des quatre derniers matchs. Les rendez-vous chez le cardiologue, c’est pour les joueurs ou pour les supporters ? »
Paul Savary : « Surtout pour l’entraîneur. C’est lui qui est le plus stressé durant les prolongations. Parce que, quand tu es sur le banc, t’es passif. Quand tu es sur la glace, tu es actif. Donc c’est, à mon avis, plus difficile pour lui. »
gshc.ch : « Question sérieuse pour terminer : Genève-Servette reçoit Bâle et se déplace à Langnau ce week-end. Ces matchs ne seront pas évidents, malgré le fait que Genève-Servette se soit imposé facilement en début de saison. »
Paul Savary : « Réponse sérieuse : de toute façon, on aborde tous les matchs de la même manière, que ce soit contre Berne ou Bâle : on est super concentré. En fait, on aime cette première place. Ça amène un nouvel esprit positif dans l’équipe. Et on a envie de conserver cette première place. Donc, ça passe par des victoires contre des équipes comme Bâle ou Langnau. »
gshc.ch : « Salut Paul. Après le match contre Zurich, tu as déclaré que, si tu n’avais pas marqué, tu arrêtais le hockey. Il faut faire attention, on va te prendre au mot… »
Paul Savary : « Oui, mais je suis toujours là, donc je l’ai marqué. C’est terminé tout ça. Ce but, on en a bien parlé. Je pense qu’il faut qu’on passe à la suite et il faut que ça passe par un meilleur jeu, pas comme contre Lugano. Je ne suis pas content de moi sur ce match. Par contre, je suis très content de l’équipe ; donc ça c’est bien. »
gshc.ch : « Tu as commencé la saison à l’aile. Puis tu es revenu au centre avec la blessure de Morris Trachsler. Maintenant, tu rejoues à l’aile. Alors, tu es ailier ou joueur de centre ? »
Paul Savary : « Apparemment, l’entraîneur ne sait toujours pas où me mettre (rires). Il est possible que je me retrouve, lors des prochains matchs, en défense, voire aux buts. J’en sais rien pour le moment, on verra… »
gshc.ch : « Genève-Servette joue les prolongations lors des quatre derniers matchs. Les rendez-vous chez le cardiologue, c’est pour les joueurs ou pour les supporters ? »
Paul Savary : « Surtout pour l’entraîneur. C’est lui qui est le plus stressé durant les prolongations. Parce que, quand tu es sur le banc, t’es passif. Quand tu es sur la glace, tu es actif. Donc c’est, à mon avis, plus difficile pour lui. »
gshc.ch : « Question sérieuse pour terminer : Genève-Servette reçoit Bâle et se déplace à Langnau ce week-end. Ces matchs ne seront pas évidents, malgré le fait que Genève-Servette se soit imposé facilement en début de saison. »
Paul Savary : « Réponse sérieuse : de toute façon, on aborde tous les matchs de la même manière, que ce soit contre Berne ou Bâle : on est super concentré. En fait, on aime cette première place. Ça amène un nouvel esprit positif dans l’équipe. Et on a envie de conserver cette première place. Donc, ça passe par des victoires contre des équipes comme Bâle ou Langnau. »