30 décembre 2010

La Coupe Spengler avec Randegger (5)

Né à Samedan d’un père davosien et d’une mère originaire de son village natal, Flurin Randegger a découvert la Coupe Spengler lors de son adolescence puisqu’il a grandi à Bâle. Junior au HC Davos, il n’a jamais eu sa chance pour le tournoi de fin d’année, tout comme son frère Gian-Andrea (actuellement avec Ambrì-Piotta). Cette année, avec Genève-Servette, le Grison réalise son rêve d’enfant : disputé le plus vieux tournoi européen de hockey sur glace. 

Durant la semaine de compétition, l’équipe du gshc.ch va donner la parole à Randegger pour qu’il nous parle de son tournoi. C’est à l’issue de la demi-finale d’hier soir que le Grisons des Vernets s’est confié, une dernière fois, pour cette semaine à la Coupe Spengler.   Premier tiers « C’était un super début pour nous. Nous ne pouvions pas espérer mieux commencer contre une telle équipe qu’est Saint-Pétersbourg. »   Retour russe « Je pense que nous leur avons facilité la tâche en prenant trop de pénalités. Après, ils ont retrouvé leur jeu, ce qui leur a permis de se relancer pour le match. Ils ont parfaitement utilisé leurs occasions. »   Meilleure équipe victorieuse ? « Je ne pense pas que ce soit une victoire logique de Saint-Pétersbourg. Je pense que nous avons réussi à nous créer de bonnes occasions, peut-être meilleures que celles des Russes. C’était surtout le cas lors du troisième tiers. »   Bilan global « Nous avons fait un très bon tournoi et nous pouvons en être fier. Personnellement, je suis très fier d’y avoir participé et de la façon dont nous avons joué. C’est juste dommage de terminer ainsi, car nous étions proches, très proches de la finale. C’est un peu triste de finir comme cela. »  

 

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