30 juin 2008

Portrait - Jérôme Bonnet (1ère partie)

En attendant la saison 2008-09, l’équipe du gshc.ch vous propose une série de portraits afin de découvrir quelques joueurs sous un angle un peu différent. Aujourd’hui, c’est Jérôme Bonnet qui se prête au jeu des questions

Ton enfance et tes débuts en hockey sur glace
« J’ai commencé par quelques autres sports avant le hockey sur glace : le judo, le rinkhockey et un peu de football mais en dehors d’un club. Un copain de mon frère a commencé le hockey, Julien l’a suivi et j’ai fait de même un an plus tard. J’ai un peu suivi mon frère, mais notre environnement était favorable, car on habitait à côté d’une patinoire à Lausanne. On y allait d’ailleurs assez souvent. Ensuite, j’ai toujours observé ce que faisait Julien et je le suivais assez souvent. J’ai donc été souvent le voir s’entraîner au hockey. J’ai voulu essayer et ça m’a plu. J’avais sept ans à l’époque. »

Tes classes juniors
« J’ai commencé l’école de hockey sur la patinoire de Montchoisi avec le Star Lausanne. Après trois entraînements, on m’a dit de monter avec les Piccolos. J’ai fait deux mois en Piccolos B avant qu’on me passe en Piccolos A où j’ai fini ma première saison. Ensuite, je suis passé en Minis ; c’est à ce moment que j’ai intégré le mouvement juniors du Lausanne Hockey Club. »

Ta venue à Genève
« Une fois que j’avais fini ma scolarité obligatoire à Lausanne, je suis venu à Genève, tant pour la suite de mes études puisque je souhaitais faire quelque chose de solide, que pour jouer avec les Juniors élites. En plus, le groupe Anschutz avait monté une grosse équipe de juniors pour obtenir la promotion en élites A, ce qu’on n’a pas manqué de faire la première année où j’étais ici. Mon frère m’a rejoint à ce moment-là après avoir visiter différents clubs en Suisse. Ça faisait aussi plaisir de se retrouver dans un club qui nous voulait tous les deux. C’était en plus pratique pour nous, car on n’était pas trop loin de nos parents, surtout quand on doit se déplacer à 15 ans. »

Ton premier match en LNA
« Je ne m’en souviens pas, car je n’ai dû faire qu’une apparition de 20 secondes sur la glace. Le seul souvenir que j’ai de la saison 2003-2004 où j’ai côtoyé la LNA, c’est qu’on m’avait convoqué pour les Hockeyades. Je voyais rien passé, j’étais encore tout petit et je n’avais aucune idée de ce qui m’arrivait. J’avoue que ça m’a plus marqué que mon premier match avec les « grands ». »

Ton parcours en LNB avec les clubs partenaires
« C’était parfois assez compliqué à gérer. D’un côté, j’avais les études à suivre, de l’autre, le hockey avec les déplacements, les matchs avec les juniors, le championnat de LNB. L’année la plus difficile a été celle passée avec Martigny : je devais m’entraîner tous les jours avec le club valaisan, ce qui impliquait des déplacements quotidiens entre Genève et Martigny. Mais ça a quand même été une bonne expérience pour prendre de la confiance et m’affirmer. Je préfère d’ailleurs me développer comme il faut en LNB et être un joueur assez important pour ensuite faire le pas de la LNA. Pour moi, c’est mieux que de faire banquette comme j’ai pu le faire durant la saison régulière. »

Retrouvez mercredi la suite du portrait de Jérôme Bonnet
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