Comme tous les mardis, gshc.ch vous propose un nouveau volet de sa Rétro 07-08. Aujourd’hui, nous revenons sur le troisième match des quarts de finale qui a vu un très net succès des Aigles sur les Lakers.
Une belle roue de vélo
Avant le début des quarts de finale, d’aucuns se demandaient comment les Grenat allaient gérer la pression due à leur rang. De plus, face à eux, les Lakers, forts de leurs saisons passées, avaient à leur avantage une bonne gestion des séries difficiles, de plus qu’un succès de prestige lors de la dernière journée de championnat.
Le premier match fut serré, comme attendu dira-t-on, et les Genevois parvenaient à arracher un succès qui ne leur tendait pas les bras. Lors du match numéro 2, les hommes de Chris McSorley retombaient dans leurs travers avec une défaite presque humiliante tant ils passaient à côté de la rencontre. Le retour fut sans doute long pour Genève-Servette, mais l’attente, au contraire, fut courte avant la revanche.
En effet, le troisième match était programmé deux jours après le deuxième, soit un lundi, pour cause de Champions’ League de football. Les Aigles n’ont donc pas eu le temps de s’apitoyer sur leur sort. Ce court repos leur fut même profitable puisqu’ils entraient sur la glace des Vernets bardés de bonnes intentions. De plus, la suspension infligée à Juraj Kolnik dans la journée les galvanisait.
En ce lundi soir, ce fut un score de tennis qu’encaissèrent les Lakers : une roue de vélo même puisqu’ils restèrent sans réaction face aux six réussites genevoises. Mona dans les buts, sa défense devant lui et les attaquants également, tous tirèrent à la même corde pour obtenir un succès amplement mérité. Pour l’anecdote, Gobbi, Fedulov, Meunier, Bezina et, par deux fois, Rivera furent ceux qui allumaient la lampe rouge.
La fête fut belle ce soir-là, tant le public genevois vit ses Aigles montrer leur vrai visage. Visage qu’ils n’allaient plus quitter lors des deux matchs suivants pour obtenir leur deuxième qualification de leur histoire en demi-finale. Et, ce, pour le plus grand bonheur du hockey romand, mais c’est une autre histoire…
Une belle roue de vélo
Avant le début des quarts de finale, d’aucuns se demandaient comment les Grenat allaient gérer la pression due à leur rang. De plus, face à eux, les Lakers, forts de leurs saisons passées, avaient à leur avantage une bonne gestion des séries difficiles, de plus qu’un succès de prestige lors de la dernière journée de championnat.
Le premier match fut serré, comme attendu dira-t-on, et les Genevois parvenaient à arracher un succès qui ne leur tendait pas les bras. Lors du match numéro 2, les hommes de Chris McSorley retombaient dans leurs travers avec une défaite presque humiliante tant ils passaient à côté de la rencontre. Le retour fut sans doute long pour Genève-Servette, mais l’attente, au contraire, fut courte avant la revanche.
En effet, le troisième match était programmé deux jours après le deuxième, soit un lundi, pour cause de Champions’ League de football. Les Aigles n’ont donc pas eu le temps de s’apitoyer sur leur sort. Ce court repos leur fut même profitable puisqu’ils entraient sur la glace des Vernets bardés de bonnes intentions. De plus, la suspension infligée à Juraj Kolnik dans la journée les galvanisait.
En ce lundi soir, ce fut un score de tennis qu’encaissèrent les Lakers : une roue de vélo même puisqu’ils restèrent sans réaction face aux six réussites genevoises. Mona dans les buts, sa défense devant lui et les attaquants également, tous tirèrent à la même corde pour obtenir un succès amplement mérité. Pour l’anecdote, Gobbi, Fedulov, Meunier, Bezina et, par deux fois, Rivera furent ceux qui allumaient la lampe rouge.
La fête fut belle ce soir-là, tant le public genevois vit ses Aigles montrer leur vrai visage. Visage qu’ils n’allaient plus quitter lors des deux matchs suivants pour obtenir leur deuxième qualification de leur histoire en demi-finale. Et, ce, pour le plus grand bonheur du hockey romand, mais c’est une autre histoire…