En attendant 2008-2009, l’équipe du gshc.ch vous propose de revivre, tous les mardi, les moments forts de la saison écoulée. Une rétrospective en plusieurs volets qui vous remémorera de bons comme de moins bons souvenirs qui ont fait de cette année, une saison inoubliable. Dans ce deuxième volet, retour sur trois transferts marquants de l’été passé.
Le retour de « Marty »
Après avoir passé la saison 2003-04 avec Genève-Servette, une saison record aux côtés de Brett Hauer, Martin Höhener avait décidé de retourner sur les bords de la Limmat pour des raisons personnelles. Mais la suite de l’aventure s’avérait différente : rôle plus défensif, voir moins apprécié par ses entraîneurs.
Le défenseur zurichois décide alors de répondre positivement à l’appel de Chris McSorley pour revenir au GSHC. Aux côtés cette fois-ci, de son « pote » Robin Breitbach, sauf sur le Powerplay où il côtoie Goran Bezina, Martin retrouve son jeu, affole les statistiques et enflamme les Vernets à plusieurs reprises en inscrivant des buts décisifs. Bilan : 9 buts et 18 passes pour 27 points et une nouvelle convocation en équipe nationale en fin de saison, la première depuis son départ du… Genève-Servette.
Le plus Québécois des Slovaques
Cinquième étranger mis sous contrat, Juraj Kolnik est presque un inconnu pour les fans suisse lorsqu’il débarque aux Vernets. Un autre mystère plane autour de sa personne : comment va-t-il gérer un statut de leader en attaque après avoir été dans un rôle plus défensif avec les Florida Panthers ?
La réponse de l’intéressé se fait sur la glace: il s’impose très vite comme le TopScorer des Aigles et comme un des meilleurs étrangers de Suisse. Malgré sa petite taille, Juraj n’hésite pas à imposer un jeu physique à ses adversaires, tout en misant sur un patinage et des mains exceptionnels pour faire la différence. Très vite, il se profile comme un des favoris du public, faisant même oublier un certain Oleg Petrov dans les mémoires récentes.
Mais, plus surveillé en Playoffs, et coupé dans son élan par une suspension, le Slovaque voit ses performances ralentir. Un fait dont il est tout à fait conscient à l’issue du sixième match de la Finale ; il regrette même de n’avoir pas pu aider d’avantage son équipe dans les moments cruciaux. Il ne reste maintenant au public genevois qu’à espérer retrouver son « chouchou » en septembre avec la même volonté de scorer.
L’autre Manitobain
A cours de glace et relégué aux rôles obscures en NHL, Jean-Pierre Vigier pense alors à l’Europe pour relancer sa carrière. Evoquant sa situation avec Serge Aubin, son ancien coéquipier aux Thrashers d’Atlanta, il apprend que Chris McSorley cherche un quatrième étranger pour la saison à venir. Le numéro 10 genevois met alors en contact Jean-Pierre et le boss des Vernets, un contact qui aboutit à une entente.
Peu, voire pas connu, de ce côté de l’Atlantique, Vigier se profile rapidement comme un joueur d’équipe lors de la saison régulière. Mais, lorsqu’arrive la « vraie » saison, le francophone du Manitoba explose. Assumant à la perfection son rôle d’étranger, il mène l’attaque des Aigles. Toutefois, un contact litigieux lors du troisième match de la Finale met un terme à sa saison. Et qui sait ce qu’il aurait pu se passer avec un Jean-Pierre Vigier en pleine forme.
Le retour de « Marty »
Après avoir passé la saison 2003-04 avec Genève-Servette, une saison record aux côtés de Brett Hauer, Martin Höhener avait décidé de retourner sur les bords de la Limmat pour des raisons personnelles. Mais la suite de l’aventure s’avérait différente : rôle plus défensif, voir moins apprécié par ses entraîneurs.
Le défenseur zurichois décide alors de répondre positivement à l’appel de Chris McSorley pour revenir au GSHC. Aux côtés cette fois-ci, de son « pote » Robin Breitbach, sauf sur le Powerplay où il côtoie Goran Bezina, Martin retrouve son jeu, affole les statistiques et enflamme les Vernets à plusieurs reprises en inscrivant des buts décisifs. Bilan : 9 buts et 18 passes pour 27 points et une nouvelle convocation en équipe nationale en fin de saison, la première depuis son départ du… Genève-Servette.
Le plus Québécois des Slovaques
Cinquième étranger mis sous contrat, Juraj Kolnik est presque un inconnu pour les fans suisse lorsqu’il débarque aux Vernets. Un autre mystère plane autour de sa personne : comment va-t-il gérer un statut de leader en attaque après avoir été dans un rôle plus défensif avec les Florida Panthers ?
La réponse de l’intéressé se fait sur la glace: il s’impose très vite comme le TopScorer des Aigles et comme un des meilleurs étrangers de Suisse. Malgré sa petite taille, Juraj n’hésite pas à imposer un jeu physique à ses adversaires, tout en misant sur un patinage et des mains exceptionnels pour faire la différence. Très vite, il se profile comme un des favoris du public, faisant même oublier un certain Oleg Petrov dans les mémoires récentes.
Mais, plus surveillé en Playoffs, et coupé dans son élan par une suspension, le Slovaque voit ses performances ralentir. Un fait dont il est tout à fait conscient à l’issue du sixième match de la Finale ; il regrette même de n’avoir pas pu aider d’avantage son équipe dans les moments cruciaux. Il ne reste maintenant au public genevois qu’à espérer retrouver son « chouchou » en septembre avec la même volonté de scorer.
L’autre Manitobain
A cours de glace et relégué aux rôles obscures en NHL, Jean-Pierre Vigier pense alors à l’Europe pour relancer sa carrière. Evoquant sa situation avec Serge Aubin, son ancien coéquipier aux Thrashers d’Atlanta, il apprend que Chris McSorley cherche un quatrième étranger pour la saison à venir. Le numéro 10 genevois met alors en contact Jean-Pierre et le boss des Vernets, un contact qui aboutit à une entente.
Peu, voire pas connu, de ce côté de l’Atlantique, Vigier se profile rapidement comme un joueur d’équipe lors de la saison régulière. Mais, lorsqu’arrive la « vraie » saison, le francophone du Manitoba explose. Assumant à la perfection son rôle d’étranger, il mène l’attaque des Aigles. Toutefois, un contact litigieux lors du troisième match de la Finale met un terme à sa saison. Et qui sait ce qu’il aurait pu se passer avec un Jean-Pierre Vigier en pleine forme.