Genève-Servette a fini la première partie de la saison avec une quatorzième victoire et chez le champion en plus… C’est un Chris McSorley heureux qui a répondu aux questions de l’équipe du gshc.ch en ce lundi matin sans entraînement.
gshc.ch : « Bonjour Chris. A Davos, c’était une victoire longue à se dessiner… »
Chris McSorley : « C’était vraiment un très bel effort de toute l’équipe. Tout le monde est monté à Davos avec un seul objectif : remporter les trois points. Notre groupe a beaucoup de confiance lorsqu’on est opposé à Davos. Notre équipe a aussi bien réagi de la première à la dernière minute : elle est restée compact en se soutenant mutuellement. Ils ont joué en ayant à cœur de bien évoluer défensivement et de manière structurée. Au final, on a joué un match équilibré à l’extérieur. »
gshc.ch : « Avant le match, vous avez dit que jouer à Davos était favorable pour Genève-Servette. Une nouvelle fois, ça s’est confirmé. »
Chris McSorley : « Oui, c’est génial. Notre équipe est très bonne en patinage, tout comme Davos. Davos prend toujours l’avantage de sa glace et de la vitesse qu’on y obtient pour étouffer l’adversaire. Mais notre équipe n’est pas étouffée par la vitesse de Davos, car elle a la vitesse nécessaire pour maintenir un bon équilibre. Notre équipe a une bonne structure, avec un très bon soutien de Savary et Rivera. Nous avons inscrits des buts rapidement. La grosse différence est que la profondeur de notre alignement est plus forte que celle de Davos. »
gshc.ch : « A présent, il y a environ dix jours sans match. Quel est le programme pour Genève-Servette ? »
Chris McSorley : « Nous allons probablement nous concentrer personnellement sur des capacités et aptitudes propres aux différents joueurs. C’est le bon moment pour le faire. L’année passée, nous avions dû nous passer de onze joueurs, soit près de la moitié de notre équipe ; cette année, nous n’en « perdons » que cinq. Cela nous donne la possibilité de bien nous concentrer à garder notre équipe en forme et d’être prêt pour le match du jeudi 15 novembre contre Zurich. »
gshc.ch : « Vous dîtes qu’il n’y a que cinq joueurs qui sont absents. Qui sont-ils ? »
Chris McSorley : « Il y a Gobbi, Deruns et Savary avec la Suisse, Kolnik avec la Slovaquie et Meunier avec la France. Ces joueurs-ci sont convoqués pour les bonnes raisons. Je veux juste qu’ils reviennent en bonne santé. Et s’ils reviennent en pleine santé, nous aurons un excellent départ, exactement là où nous nous sommes arrêtés. »
gshc.ch : « Bonjour Chris. A Davos, c’était une victoire longue à se dessiner… »
Chris McSorley : « C’était vraiment un très bel effort de toute l’équipe. Tout le monde est monté à Davos avec un seul objectif : remporter les trois points. Notre groupe a beaucoup de confiance lorsqu’on est opposé à Davos. Notre équipe a aussi bien réagi de la première à la dernière minute : elle est restée compact en se soutenant mutuellement. Ils ont joué en ayant à cœur de bien évoluer défensivement et de manière structurée. Au final, on a joué un match équilibré à l’extérieur. »
gshc.ch : « Avant le match, vous avez dit que jouer à Davos était favorable pour Genève-Servette. Une nouvelle fois, ça s’est confirmé. »
Chris McSorley : « Oui, c’est génial. Notre équipe est très bonne en patinage, tout comme Davos. Davos prend toujours l’avantage de sa glace et de la vitesse qu’on y obtient pour étouffer l’adversaire. Mais notre équipe n’est pas étouffée par la vitesse de Davos, car elle a la vitesse nécessaire pour maintenir un bon équilibre. Notre équipe a une bonne structure, avec un très bon soutien de Savary et Rivera. Nous avons inscrits des buts rapidement. La grosse différence est que la profondeur de notre alignement est plus forte que celle de Davos. »
gshc.ch : « A présent, il y a environ dix jours sans match. Quel est le programme pour Genève-Servette ? »
Chris McSorley : « Nous allons probablement nous concentrer personnellement sur des capacités et aptitudes propres aux différents joueurs. C’est le bon moment pour le faire. L’année passée, nous avions dû nous passer de onze joueurs, soit près de la moitié de notre équipe ; cette année, nous n’en « perdons » que cinq. Cela nous donne la possibilité de bien nous concentrer à garder notre équipe en forme et d’être prêt pour le match du jeudi 15 novembre contre Zurich. »
gshc.ch : « Vous dîtes qu’il n’y a que cinq joueurs qui sont absents. Qui sont-ils ? »
Chris McSorley : « Il y a Gobbi, Deruns et Savary avec la Suisse, Kolnik avec la Slovaquie et Meunier avec la France. Ces joueurs-ci sont convoqués pour les bonnes raisons. Je veux juste qu’ils reviennent en bonne santé. Et s’ils reviennent en pleine santé, nous aurons un excellent départ, exactement là où nous nous sommes arrêtés. »