L’année 2007 s’est terminée avec une victoire et une défaite. Pour le dernier « Vu du banc » de 2007, l’équipe du gshc.ch s’est tournée vers Hans Kossmann pour connaître son analyse des deux rencontres.
gshc.ch : « Bonjour Hans. Qu’est-ce qui a fait la différence entre le match de vendredi soir face à Zoug et les deux précédents face à ce même adversaire où Genève-Servette aurait pu gagner ? »
Hans Kossmann : « Déjà, Zoug et Genève sont les deux meilleures attaques du championnat. On a de nouveau vu cinq buts lors du premier tiers presque autant que lors de notre précédent affrontement. Ça nous a posé quelques soucis d’ailleurs. Mais l’équipe a bien travaillé et est restée calme et disciplinée. Nous avons plutôt provoqué beaucoup de fautes dans le camp zougois, ce qui a fait la différence. »
gshc.ch : « Tu parles du même départ que le 30 octobre. Il est vrai qu’on a pu craindre une même situation. »
Hans Kossmann : « Oui, c’est sûr. Zoug a de toute façon une équipe qui est dangereuse. Ils ont beaucoup de joueurs d’expérience. Ils ont aussi le meilleur jeu de puissance, on a pu le voir sur le 3-2. On était conscient qu’il ne fallait pas prendre trop de pénalités. Sur ce plan-là, on a été très attentif et ça a payé. Au contraire, on a réussi à mettre la pression sur la défense zougoise et, ainsi, à provoquer plusieurs erreurs dont on a profité. On a aussi provoqué des pénalités qui ont fait au final la différence. »
gshc.ch : « Comment expliques-tu la défaite à Zurich ? »
Hans Kossmann : « On a eu le 2-0 au bout de la canne de Fedulov sur un contre avec Kolnik. Malheureusement, ça a fini sur le poteau. Je pense qu’on aurait tué le match avec cette réussite. Ensuite, ils ont marqué deux buts en supériorité numérique et ça a fait la différence. De plus, on a joué de malchance en touchant encore deux ou trois fois le poteau. »
gshc.ch : « Bonjour Hans. Qu’est-ce qui a fait la différence entre le match de vendredi soir face à Zoug et les deux précédents face à ce même adversaire où Genève-Servette aurait pu gagner ? »
Hans Kossmann : « Déjà, Zoug et Genève sont les deux meilleures attaques du championnat. On a de nouveau vu cinq buts lors du premier tiers presque autant que lors de notre précédent affrontement. Ça nous a posé quelques soucis d’ailleurs. Mais l’équipe a bien travaillé et est restée calme et disciplinée. Nous avons plutôt provoqué beaucoup de fautes dans le camp zougois, ce qui a fait la différence. »
gshc.ch : « Tu parles du même départ que le 30 octobre. Il est vrai qu’on a pu craindre une même situation. »
Hans Kossmann : « Oui, c’est sûr. Zoug a de toute façon une équipe qui est dangereuse. Ils ont beaucoup de joueurs d’expérience. Ils ont aussi le meilleur jeu de puissance, on a pu le voir sur le 3-2. On était conscient qu’il ne fallait pas prendre trop de pénalités. Sur ce plan-là, on a été très attentif et ça a payé. Au contraire, on a réussi à mettre la pression sur la défense zougoise et, ainsi, à provoquer plusieurs erreurs dont on a profité. On a aussi provoqué des pénalités qui ont fait au final la différence. »
gshc.ch : « Comment expliques-tu la défaite à Zurich ? »
Hans Kossmann : « On a eu le 2-0 au bout de la canne de Fedulov sur un contre avec Kolnik. Malheureusement, ça a fini sur le poteau. Je pense qu’on aurait tué le match avec cette réussite. Ensuite, ils ont marqué deux buts en supériorité numérique et ça a fait la différence. De plus, on a joué de malchance en touchant encore deux ou trois fois le poteau. »