Ce week-end, le Genève-Servette a connu des fortunes diverses. Chris McSorley revient avec l’équipe du gshc.ch sur les matchs qui ont eu lieu vendredi et samedi.
gshc.ch : « Bonjour Chris. Comment avez-vous vécu ce match très étrange contre Ambrì-Piotta vendredi soir. »
Chris McSorley : « C’est difficile de trouver une explication. Notre équipe a eu beaucoup de succès tout au long du mois de novembre. Avec le succès, les équipes ont tendance à oublier ce qui fait leur force. Ce qui faisait la notre, c’était notre attention portée sur les détails. Nous sommes une équipe qui joue de manière solidaire, avec une bonne alchimie. Quand nous sommes attentifs à ces détails, nous sommes très difficiles à battre. Je pense que les gens qui ont assisté au match vendredi soir, ont pu voir une équipe qui n’avait pas la même osmose et qui ne soignait pas les détails. Ces différents points ont été relevés après le match et discutés le lendemain. Nous sommes allés à Rapperswil où notre attention était excellente. Excepté les deux buts accordés à 5 contre 3, le groupe s’est montré digne de celui de novembre. »
gshc.ch : « Pendant le match à Rapperswil, on a pu voir une bonne réaction. De même, les leaders ont pris leurs responsabilités ; on a pu le voir avec le but de Goran Bezina ou le coup du chapeau de Serge Aubin. »
Chris McSorley : « Dans n’importe quelle équipe et dans n’importe quel sport, vos meilleurs joueurs doivent être les meilleurs. Nos meilleurs joueurs se sont levés lors du dernier match. Tout le monde a été excellent, à l’image de Juraj Kolnik pendant les tirs au but. Ce qui nous rend le plus heureux, c’est que ça a été un effort d’équipe. Avec la perte de Morris Trachsler au deuxième tiers due à une blessure à l’épaule, l’équipe ne s’est pas désolidarisée. Ils se sont regroupés et ont joué malgré cette absence forcée. C’était génial de voir le leadership déployé samedi soir. »
gshc.ch : « Quelles sont les nouvelles actuelles de Morris Trachsler ? »
Chris McSorley : « Morris passe une radiographie aujourd’hui. Si les résultats ne sont pas positifs, ce pourrait être une absence de quatre à six semaines. »
gshc.ch : « Bonjour Chris. Comment avez-vous vécu ce match très étrange contre Ambrì-Piotta vendredi soir. »
Chris McSorley : « C’est difficile de trouver une explication. Notre équipe a eu beaucoup de succès tout au long du mois de novembre. Avec le succès, les équipes ont tendance à oublier ce qui fait leur force. Ce qui faisait la notre, c’était notre attention portée sur les détails. Nous sommes une équipe qui joue de manière solidaire, avec une bonne alchimie. Quand nous sommes attentifs à ces détails, nous sommes très difficiles à battre. Je pense que les gens qui ont assisté au match vendredi soir, ont pu voir une équipe qui n’avait pas la même osmose et qui ne soignait pas les détails. Ces différents points ont été relevés après le match et discutés le lendemain. Nous sommes allés à Rapperswil où notre attention était excellente. Excepté les deux buts accordés à 5 contre 3, le groupe s’est montré digne de celui de novembre. »
gshc.ch : « Pendant le match à Rapperswil, on a pu voir une bonne réaction. De même, les leaders ont pris leurs responsabilités ; on a pu le voir avec le but de Goran Bezina ou le coup du chapeau de Serge Aubin. »
Chris McSorley : « Dans n’importe quelle équipe et dans n’importe quel sport, vos meilleurs joueurs doivent être les meilleurs. Nos meilleurs joueurs se sont levés lors du dernier match. Tout le monde a été excellent, à l’image de Juraj Kolnik pendant les tirs au but. Ce qui nous rend le plus heureux, c’est que ça a été un effort d’équipe. Avec la perte de Morris Trachsler au deuxième tiers due à une blessure à l’épaule, l’équipe ne s’est pas désolidarisée. Ils se sont regroupés et ont joué malgré cette absence forcée. C’était génial de voir le leadership déployé samedi soir. »
gshc.ch : « Quelles sont les nouvelles actuelles de Morris Trachsler ? »
Chris McSorley : « Morris passe une radiographie aujourd’hui. Si les résultats ne sont pas positifs, ce pourrait être une absence de quatre à six semaines. »