29 février 2008

Vu du banc – « Un très bon état d’esprit »

Les PLAYOFFS ont commencé et les « Vu du banc » continuent. Aujourd’hui, l’équipe du gshc.ch vous propose l’analyse de Chris McSorley sur le premier match de la série.

gshc.ch : « Bonjour Chris. C’était un match difficile hier soir. »
Chris McSorley : « Non, c’était un match très difficile. Ils étaient très motivés à l’idée de jouer contre nous. C’est une équipe expérimentée qui a trouvé les ressources pour nous mettre en difficultés. Mais, au final, Rapperswil et nous avons trouvé le moyen de nous empêcher de jouer de manière offensive. Il y a encore beaucoup de match et il nous reste à gravir trois autres montagnes pour éliminer Rapperswil. Nous nous concentrons sur le match numéro deux. »

gshc.ch : « Marco Streit, le gardien de Rapperswil, vous a donné beaucoup de fil à retordre. Il a d’ailleurs effectué de nombreux arrêts importants durant la rencontre. »
Chris McSorley : « Oui, mais les deux gardiens ont été excellents. Nous avons obtenus plus de 40 tirs ce qui nous a permis de tout faire pour mettre le palet autour du but adverse et, ainsi, nous créer des chances de marquer. Mais c’est le hockey : des fois, ça rentre, des fois, ça ne rentre pas. Celui qui devait entrer hier soir l’a fait au bon moment. »

gshc.ch : « Un bon point pour Genève-Servette : l’équipe n’a jamais abandonné hier soir et a tout fait pour marquer. »
Chris McSorley : « Tout à fait, et c’est la raison pour laquelle nous avons terminé deuxième de la saison régulière. Notre équipe a un très bon état d’esprit et elle n’arrête jamais de croire en ses chances. Hier soir, elle a été capable d’élever son niveau de jeu pour aller marquer ce but. »

gshc.ch : « Demain, il va falloir confirmer le résultat du premier match. »
Chris McSorley : « Demain soir, nous ne devrons pas laisser à Rapperswil une chance de revenir dans la série. Nous savons que nous évoluerons dans un environnement qui nous sera hostile ; les fans de Rapperswil sont « durs ». Nous devrons jouer avec le même contrôle de soi que hier soir. Si nous faisons ça, nous devrions revenir avec la victoire. »
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