Hier après-midi, une petite quinzaine de joueurs s’est retrouvée au Country Club Geneva. Elle avait rendez-vous avec Xavier Jolis pour une séance de travail physique d’une heure environ. A l’issue de celle-ci, le préparateur physique des Aigles a expliqué son travail durant la saison à l’équipe du gshc.ch.
gshc.ch : « Salut Xavier. On est à la fin du mois et les joueurs continuent à travailler en salle de force. Est-ce une volonté de ta part de continuer ce travail ? »
Xavier Jolis : « C’est clair. Si on ne travaille que trois mois durant l’été, on a un niveau de forme excellent pour la reprise, mais, sans rappel de force ou d’explosivité, on perd tout le bénéfice de ces efforts durant la saison. Il faut donc entretenir ce qu’on a fait durant l’été pendant toute la saison. »
gshc.ch : « Lundi, il y a eu une séance. Mercredi, il y aura une deuxième. Quel est le programme pour les joueurs durant ces deux séances? »
Xavier Jolis : « D’abord, je cherche à faire des séances assez courtes, pour ne pas trop fatiguer les joueurs. Ce que je prépare n’est qu’un outil complémentaire au hockey, mais il ne faut surtout pas que ça prenne plus d’importance que le hockey. Durant les séances, je tiens à faire des rappels de force maximale et d’explosivité. Lors des exercices d’explosivité, c’est à moi de les surprendre. Lundi, on a travaillé sur un exercice que les joueurs n’avaient plus fait depuis longtemps ; mercredi, ce sera quelque chose d’autre. »
gshc.ch : « A quelle fréquence vas-tu retrouver les joueurs pour le travail en salle de force ? »
Xavier Jolis : « Ça dépend du calendrier des matchs. Si il y a trois matchs dans la même semaine, je ne vois quasiment pas les joueurs. En effet, il y a les matchs, les entraînements et les déplacements à prendre en compte dans leur capital « fatigue ». S’il y a qu’une rencontre dans la semaine, on se verra une à deux fois pour travailler. Et les semaines à deux parties, ce sera une seule séance. »
gshc.ch : « Salut Xavier. On est à la fin du mois et les joueurs continuent à travailler en salle de force. Est-ce une volonté de ta part de continuer ce travail ? »
Xavier Jolis : « C’est clair. Si on ne travaille que trois mois durant l’été, on a un niveau de forme excellent pour la reprise, mais, sans rappel de force ou d’explosivité, on perd tout le bénéfice de ces efforts durant la saison. Il faut donc entretenir ce qu’on a fait durant l’été pendant toute la saison. »
gshc.ch : « Lundi, il y a eu une séance. Mercredi, il y aura une deuxième. Quel est le programme pour les joueurs durant ces deux séances? »
Xavier Jolis : « D’abord, je cherche à faire des séances assez courtes, pour ne pas trop fatiguer les joueurs. Ce que je prépare n’est qu’un outil complémentaire au hockey, mais il ne faut surtout pas que ça prenne plus d’importance que le hockey. Durant les séances, je tiens à faire des rappels de force maximale et d’explosivité. Lors des exercices d’explosivité, c’est à moi de les surprendre. Lundi, on a travaillé sur un exercice que les joueurs n’avaient plus fait depuis longtemps ; mercredi, ce sera quelque chose d’autre. »
gshc.ch : « A quelle fréquence vas-tu retrouver les joueurs pour le travail en salle de force ? »
Xavier Jolis : « Ça dépend du calendrier des matchs. Si il y a trois matchs dans la même semaine, je ne vois quasiment pas les joueurs. En effet, il y a les matchs, les entraînements et les déplacements à prendre en compte dans leur capital « fatigue ». S’il y a qu’une rencontre dans la semaine, on se verra une à deux fois pour travailler. Et les semaines à deux parties, ce sera une seule séance. »