Aujourd’hui, suite et fin du bilan réalisé par gshc.ch en compagnie du capitaine des Aigles, Goran Bezina.
gshc.ch : « Durant ces dix derniers matchs, on a également vu trois victoires à l’extérieur. C’était quelque chose d’important à faire… »
Goran Bezina : « Mais c’est toujours important de gagner à l’extérieur. Quand on joue le haut du classement, il faut non seulement gagner à la maison, mais aussi à l’extérieur. Ça reste toujours quelque chose de difficile de s’imposer sur la route et certaines patinoires nous conviennent mieux que d’autres. On a réussi à arracher la victoire tant à Zoug qu’à Ambrì où ce n’est jamais facile. C’était important de signer ces succès, car on n’en avait qu’un avant ces trois derniers (6-5 à Langnau le 23 septembre). Ce n’est pas bien comme bilan. C’est à l’extérieur qu’on voit le caractère de l’équipe et c’est dans ces situations que les bonnes équipes vont chercher des points. »
gshc.ch : « Un autre point positif de ces dix dernières rencontres, c’est une première ligne qui s’est enfin trouvée avec Kolnik, Ritchie et Vigier. »
Goran Bezina : « Il fallait aussi leur laisser le temps de se trouver. Au début, il y avait le tournus entre les cinq étrangers. Cela voulait dire qu’il y avait des changements de ligne à chaque match. C’est difficile de se trouver lorsque les partenaires changent à chaque sortie. Les automatismes viennent plus lentement. On a pu voir la différence depuis qu’ils ont joué quelques matchs ensembles. C’est une question de logique. »
gshc.ch : « Durant cette période de neuf parties pour toi, tu t’es montré plus prolifique avec trois buts et neuf points et un +/- de +9. »
Goran Bezina : « Lors des dix premiers matchs, l’équipe tournait un peu moins bien. Chacun essayait d’en faire un peu trop sur la glace. En en faisant trop, on se retrouve facilement hors de position et on encaisse plus facilement un but. J’étais peut-être moins concentré sur mon travail défensif. On s’est réunis, on a conclu qu’il fallait que chacun sache ce que l’autre fait sur la glace et que tout le monde travaille dans le même sens. Personnellement, il fallait que je me remette dans le système. Statistiquement, ça va tout de suite mieux. En résumé, je me suis concentré plus sur le système et mon jeu défensif durant ces dix dernières parties. »
gshc.ch : « Comment as-tu vécu ton match de suspension ? »
Goran Bezina : « J’étais frustré. J’ai regardé la rencontre sur Bluewin TV. J’étais frustré de ne pas pouvoir jouer et aider mes coéquipiers ; j’étais également frustré par la sanction, car il y avait eu des bagarres lors des deux journées précédentes et on a été les seuls à être suspendus. En plus, le score de la défaite m’a encore plus enragé. »
gshc.ch : « Cette rage t’a permis de revenir comme un boulet de canon avec deux buts lors du matchs contre Fribourg… »
Goran Bezina : « C’est clair. C’était un peu ma faute si j’avais manqué à l’équipe la veille. Après une défaite 7-3, tu as envie de te racheter. Comme je n’avais pas joué la veille et que je ne m’étais pas déplacé, j’avais les jambes fraîches. Tout ce dont j’avais envie, c’était de tirer l’équipe vers le haut. »
gshc.ch : « Durant ces dix derniers matchs, on a également vu trois victoires à l’extérieur. C’était quelque chose d’important à faire… »
Goran Bezina : « Mais c’est toujours important de gagner à l’extérieur. Quand on joue le haut du classement, il faut non seulement gagner à la maison, mais aussi à l’extérieur. Ça reste toujours quelque chose de difficile de s’imposer sur la route et certaines patinoires nous conviennent mieux que d’autres. On a réussi à arracher la victoire tant à Zoug qu’à Ambrì où ce n’est jamais facile. C’était important de signer ces succès, car on n’en avait qu’un avant ces trois derniers (6-5 à Langnau le 23 septembre). Ce n’est pas bien comme bilan. C’est à l’extérieur qu’on voit le caractère de l’équipe et c’est dans ces situations que les bonnes équipes vont chercher des points. »
gshc.ch : « Un autre point positif de ces dix dernières rencontres, c’est une première ligne qui s’est enfin trouvée avec Kolnik, Ritchie et Vigier. »
Goran Bezina : « Il fallait aussi leur laisser le temps de se trouver. Au début, il y avait le tournus entre les cinq étrangers. Cela voulait dire qu’il y avait des changements de ligne à chaque match. C’est difficile de se trouver lorsque les partenaires changent à chaque sortie. Les automatismes viennent plus lentement. On a pu voir la différence depuis qu’ils ont joué quelques matchs ensembles. C’est une question de logique. »
gshc.ch : « Durant cette période de neuf parties pour toi, tu t’es montré plus prolifique avec trois buts et neuf points et un +/- de +9. »
Goran Bezina : « Lors des dix premiers matchs, l’équipe tournait un peu moins bien. Chacun essayait d’en faire un peu trop sur la glace. En en faisant trop, on se retrouve facilement hors de position et on encaisse plus facilement un but. J’étais peut-être moins concentré sur mon travail défensif. On s’est réunis, on a conclu qu’il fallait que chacun sache ce que l’autre fait sur la glace et que tout le monde travaille dans le même sens. Personnellement, il fallait que je me remette dans le système. Statistiquement, ça va tout de suite mieux. En résumé, je me suis concentré plus sur le système et mon jeu défensif durant ces dix dernières parties. »
gshc.ch : « Comment as-tu vécu ton match de suspension ? »
Goran Bezina : « J’étais frustré. J’ai regardé la rencontre sur Bluewin TV. J’étais frustré de ne pas pouvoir jouer et aider mes coéquipiers ; j’étais également frustré par la sanction, car il y avait eu des bagarres lors des deux journées précédentes et on a été les seuls à être suspendus. En plus, le score de la défaite m’a encore plus enragé. »
gshc.ch : « Cette rage t’a permis de revenir comme un boulet de canon avec deux buts lors du matchs contre Fribourg… »
Goran Bezina : « C’est clair. C’était un peu ma faute si j’avais manqué à l’équipe la veille. Après une défaite 7-3, tu as envie de te racheter. Comme je n’avais pas joué la veille et que je ne m’étais pas déplacé, j’avais les jambes fraîches. Tout ce dont j’avais envie, c’était de tirer l’équipe vers le haut. »