L’équipe de l’Eagle Mag est allée à la rencontre de Daniel Rubin. Arrivé en début de saison aux Vernets, Daniel a d’abord été surnuméraire à plusieurs reprises mais suite à la suspension de Serge Aubin et à la blessure de Tony Salmelainen, il a bénéficié de plus de temps de glace et le public genevois a pu découvrir ce jeune et talentueux joueur.
Eagle Mag. : « Peux-tu te présenter en quelques mots ? »
Daniel Rubin : « Je suis âgé de 23 ans et originaire de Berne. Mes hobbies sont le tennis et surfer sur Internet. De temps en temps, je vais au cinéma et en ce moment, j’apprends un peu le français.
Pour l’instant, je n’étudie pas car je consacre tout mon temps au hockey. Mes points forts sont mon jeu offensif et shoot. Là où je peux encore m’améliorer : mon jeu défensif et ma vision du jeu. »
Eagle Mag. : « Voilà quelques mois que tu habites Genève, comment trouves-tu la ville et le public genevois ? »
Daniel Rubin : « Genève me plaît beaucoup ! Il y a toujours de l’agitation ici et en ville, il y a beaucoup de choses intéressantes à faire et à voir.
Le public genevois est très bruyant et j’aime lorsqu’il nous transmet ses émotions. J’ai beaucoup de plaisir à jouer devant eux lorsqu’ils nous portent et nous encouragent. Ils sont plus bruyants que dans les autres patinoires et ça me plaît. »
Eagle Mag. : « A ton arrivée, comment as-tu été accueilli par l’équipe ? »
Daniel Rubin : « Je pense avoir été bien intégré dans le groupe, ce sont tous de bons gars. Ils m’ont très bien accueilli comme c’est souvent le cas avec les nouveaux joueurs. »
Eagle Mag. : « Etait-ce difficile de s'adapter au système de jeu de Chris McSorley ? »
Daniel Rubin : « Oui au début, le système de Chris McSorley était un petit peu inhabituel pour moi et il m’a fallu un peu de temps pour m’y adapter mais maintenant, ça va de mieux en mieux. Ce système est très efficace s’il est bien appliqué. »
Eagle Mag. : « Comment s’est passé ton premier match aux Vernets et qu’as-tu ressenti en sortant de l’aigle ? »
Daniel Rubin : « Je ne me rappelle plus trop de mon premier match à Genève mais je pense qu’il s’est bien passé. Je suis très impressionné lorsque je sors de l’aigle dans le noir, avec la haie de flamme et les fans qui scandent mon nom. J’avais déjà vu le show l’année passée lorsque je suis venu joué contre le GSHC avec le EHC Bâle et c’est très spécial.
Peut-être qu’il y a quelque chose de semblable à Berne, mais c’est quand même spécial ici. Je pense que c’est bien lorsqu’il y a des shows organisés pour le public. »
Eagle Mag. : « Quelles sont tes premières impressions sur le GSHC ? »
Daniel Rubin : « Très positives !!! L’ensemble du club est dirigé très professionnellement et bien plus que les autres clubs pour lesquels j’ai joué par le passé. L’équipe porte l’empreinte de Chris McSorley et ça fait toute la différence. C’est beaucoup plus agréable de jouer lorsque le milieu est également professionnel. »
Eagle Mag. : « Au niveau organisation, quelles sont les différences entre le GSHC et les clubs que tu as connus par le passé ? »
Daniel Rubin : « Comme je l’ai déjà dit, c’est plus professionnel. La présence à temps complet de Jimmy, notre chef matériel est très importante car il est là lors de tous les matchs. Lorsque le staff est aussi bien qu’à Genève, il y a moins de problème pour jouer et cela permet de se concentrer seulement sur le match et ça c’est agréable. »
Eagle Mag. : « Pour finir, un petit mot pour le public genevois… »
Daniel Rubin : « J’espère que les supporters vont continuer à nous soutenir comme ils l’ont fait jusqu’à maintenant. Nous avons besoin d’eux comme 6ème homme et s’ils continuent comme cela, nous aurons du succès ensemble. »
Eagle Mag. : « Peux-tu te présenter en quelques mots ? »
Daniel Rubin : « Je suis âgé de 23 ans et originaire de Berne. Mes hobbies sont le tennis et surfer sur Internet. De temps en temps, je vais au cinéma et en ce moment, j’apprends un peu le français.
Pour l’instant, je n’étudie pas car je consacre tout mon temps au hockey. Mes points forts sont mon jeu offensif et shoot. Là où je peux encore m’améliorer : mon jeu défensif et ma vision du jeu. »
Eagle Mag. : « Voilà quelques mois que tu habites Genève, comment trouves-tu la ville et le public genevois ? »
Daniel Rubin : « Genève me plaît beaucoup ! Il y a toujours de l’agitation ici et en ville, il y a beaucoup de choses intéressantes à faire et à voir.
Le public genevois est très bruyant et j’aime lorsqu’il nous transmet ses émotions. J’ai beaucoup de plaisir à jouer devant eux lorsqu’ils nous portent et nous encouragent. Ils sont plus bruyants que dans les autres patinoires et ça me plaît. »
Eagle Mag. : « A ton arrivée, comment as-tu été accueilli par l’équipe ? »
Daniel Rubin : « Je pense avoir été bien intégré dans le groupe, ce sont tous de bons gars. Ils m’ont très bien accueilli comme c’est souvent le cas avec les nouveaux joueurs. »
Eagle Mag. : « Etait-ce difficile de s'adapter au système de jeu de Chris McSorley ? »
Daniel Rubin : « Oui au début, le système de Chris McSorley était un petit peu inhabituel pour moi et il m’a fallu un peu de temps pour m’y adapter mais maintenant, ça va de mieux en mieux. Ce système est très efficace s’il est bien appliqué. »
Eagle Mag. : « Comment s’est passé ton premier match aux Vernets et qu’as-tu ressenti en sortant de l’aigle ? »
Daniel Rubin : « Je ne me rappelle plus trop de mon premier match à Genève mais je pense qu’il s’est bien passé. Je suis très impressionné lorsque je sors de l’aigle dans le noir, avec la haie de flamme et les fans qui scandent mon nom. J’avais déjà vu le show l’année passée lorsque je suis venu joué contre le GSHC avec le EHC Bâle et c’est très spécial.
Peut-être qu’il y a quelque chose de semblable à Berne, mais c’est quand même spécial ici. Je pense que c’est bien lorsqu’il y a des shows organisés pour le public. »
Eagle Mag. : « Quelles sont tes premières impressions sur le GSHC ? »
Daniel Rubin : « Très positives !!! L’ensemble du club est dirigé très professionnellement et bien plus que les autres clubs pour lesquels j’ai joué par le passé. L’équipe porte l’empreinte de Chris McSorley et ça fait toute la différence. C’est beaucoup plus agréable de jouer lorsque le milieu est également professionnel. »
Eagle Mag. : « Au niveau organisation, quelles sont les différences entre le GSHC et les clubs que tu as connus par le passé ? »
Daniel Rubin : « Comme je l’ai déjà dit, c’est plus professionnel. La présence à temps complet de Jimmy, notre chef matériel est très importante car il est là lors de tous les matchs. Lorsque le staff est aussi bien qu’à Genève, il y a moins de problème pour jouer et cela permet de se concentrer seulement sur le match et ça c’est agréable. »
Eagle Mag. : « Pour finir, un petit mot pour le public genevois… »
Daniel Rubin : « J’espère que les supporters vont continuer à nous soutenir comme ils l’ont fait jusqu’à maintenant. Nous avons besoin d’eux comme 6ème homme et s’ils continuent comme cela, nous aurons du succès ensemble. »