L'équipe du gshc.ch vous propose aujourd'hui de découvrir la seconde partie du portait consacré à Morris Trachsler
La saison 2007-08
« Le début de saison n’était pas réjouissant pour moi. Après une bonne préparation, je me suis blessé au genou, une entorse, lors du premier match de la saison. Ça m’a mis sur la touche pendant une à deux semaines. Il a aussi fallu un peu de temps pour revenir, d’autant plus que la physiothérapie n’est pas le programme qu’on a le plus envie de suivre en début de saison. Ensuite, il y a eu l’épaule durant l’hiver. En fait, en y repensant, j’ai connu une saison pourrie au niveau des blessures : c’était la première fois que je me blessais deux fois durant la même saison. Mais j’en ai chaque fois retiré le positif. Et j’espère que ça ira mieux la saison prochaine.
« Du point de vue de l’équipe, on n’a pas connu de « trou » en novembre. En plus, on n’arrêtait pas de gagner. Des fois, on a même gagné des matchs, notamment à l’extérieur, que nous n’aurions jamais gagnés si nous avions été plus bas dans le classement. L’adversaire nous respectait plus puisque nous étions deuxième. De plus, notre système n’est pas toujours favorable à l’adversaire.
« La Finale ne fut pas facile à digérer. On était vraiment très proche de Zurich. On a peut-être manqué d’expérience aux moments clés. On menait 2-0 dans la série, mais on n’était peut-être pas assez conscients que ce n’était pas fini ou, alors, on ne réalisait pas qu’on avait eu de la chance jusque là. On essayera de faire mieux la prochaine fois. »
Des Playoffs spéciaux pour toi (Rapperswil en quart et Zurich en Finale)
« Durant ces deux séries, je connaissais à chaque fois des joueurs chez l’adversaire. J’ai essayé de zapper ça, même si c’est plus dur en Playoffs car une série dure deux semaines contre la même équipe. Je me suis étonné car j’ai bien réussi à zapper cet aspect durant tous les Playoffs. Dans cette situation, il faut bien faire la différence entre vies privée et professionnelle. »
La saison prochaine
« Ce ne sera pas facile pour nous, car nous aurons de bons adversaires. De plus, certaines équipes voudront faire oublier la saison passée. Je pense qu’on a une bonne équipe et qu’on pourra faire une bonne saison. En plus, on aura plus d’expérience que la saison passée pour faire face à certaines situations. »
Ton avenir
« Mon avenir est pour l’instant composé du hockey sur glace et des études. De plus, je ne veux pas trop faire de plans de carrière pour ne pas être déçu au cas où ça ne fonctionnerait pas. Pour l’instant, je vais continuer à mener de front études et hockey. Tout ce que je sais, c’est que j’aimerais finir mes études ; plus loin, je ne sais pas encore. »
Tes études
« C’est grâce à mes parents que j’ai continué. Ils m’ont toujours conseillé de suivre des études à côtés du sport. Premièrement, car on ne sait jamais si une blessure grave interviendra dans une carrière ; deuxièmement, car peu de joueurs peuvent vivre de notre sport après la carrière. Je ne veux pas avoir peur de ma retraite sportive, alors je m’y prépare déjà, même si je suis encore jeune. Je pense aussi avoir trouvé une bonne combinaison entre hockey et études. Pendant la saison, il est clair que le hockey a la priorité, tout en essayant de suivre au maximum les cours. Tout est une question de compromis et de discipline. C’est parfois une situation spéciale, mais j’aime bien cette vie-là, car c’est aussi un privilège de pouvoir faire les deux. »
La saison 2007-08
« Le début de saison n’était pas réjouissant pour moi. Après une bonne préparation, je me suis blessé au genou, une entorse, lors du premier match de la saison. Ça m’a mis sur la touche pendant une à deux semaines. Il a aussi fallu un peu de temps pour revenir, d’autant plus que la physiothérapie n’est pas le programme qu’on a le plus envie de suivre en début de saison. Ensuite, il y a eu l’épaule durant l’hiver. En fait, en y repensant, j’ai connu une saison pourrie au niveau des blessures : c’était la première fois que je me blessais deux fois durant la même saison. Mais j’en ai chaque fois retiré le positif. Et j’espère que ça ira mieux la saison prochaine.
« Du point de vue de l’équipe, on n’a pas connu de « trou » en novembre. En plus, on n’arrêtait pas de gagner. Des fois, on a même gagné des matchs, notamment à l’extérieur, que nous n’aurions jamais gagnés si nous avions été plus bas dans le classement. L’adversaire nous respectait plus puisque nous étions deuxième. De plus, notre système n’est pas toujours favorable à l’adversaire.
« La Finale ne fut pas facile à digérer. On était vraiment très proche de Zurich. On a peut-être manqué d’expérience aux moments clés. On menait 2-0 dans la série, mais on n’était peut-être pas assez conscients que ce n’était pas fini ou, alors, on ne réalisait pas qu’on avait eu de la chance jusque là. On essayera de faire mieux la prochaine fois. »
Des Playoffs spéciaux pour toi (Rapperswil en quart et Zurich en Finale)
« Durant ces deux séries, je connaissais à chaque fois des joueurs chez l’adversaire. J’ai essayé de zapper ça, même si c’est plus dur en Playoffs car une série dure deux semaines contre la même équipe. Je me suis étonné car j’ai bien réussi à zapper cet aspect durant tous les Playoffs. Dans cette situation, il faut bien faire la différence entre vies privée et professionnelle. »
La saison prochaine
« Ce ne sera pas facile pour nous, car nous aurons de bons adversaires. De plus, certaines équipes voudront faire oublier la saison passée. Je pense qu’on a une bonne équipe et qu’on pourra faire une bonne saison. En plus, on aura plus d’expérience que la saison passée pour faire face à certaines situations. »
Ton avenir
« Mon avenir est pour l’instant composé du hockey sur glace et des études. De plus, je ne veux pas trop faire de plans de carrière pour ne pas être déçu au cas où ça ne fonctionnerait pas. Pour l’instant, je vais continuer à mener de front études et hockey. Tout ce que je sais, c’est que j’aimerais finir mes études ; plus loin, je ne sais pas encore. »
Tes études
« C’est grâce à mes parents que j’ai continué. Ils m’ont toujours conseillé de suivre des études à côtés du sport. Premièrement, car on ne sait jamais si une blessure grave interviendra dans une carrière ; deuxièmement, car peu de joueurs peuvent vivre de notre sport après la carrière. Je ne veux pas avoir peur de ma retraite sportive, alors je m’y prépare déjà, même si je suis encore jeune. Je pense aussi avoir trouvé une bonne combinaison entre hockey et études. Pendant la saison, il est clair que le hockey a la priorité, tout en essayant de suivre au maximum les cours. Tout est une question de compromis et de discipline. C’est parfois une situation spéciale, mais j’aime bien cette vie-là, car c’est aussi un privilège de pouvoir faire les deux. »